GARCIA & RODRIGUES
Jadis un véritable complexe gastronomique, cet établissement (qui n'a ...Lire la suite
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Toutes les villes proposent des pâtisseries, cafés et salons de thé. Ici encore, les horaires sont très variables, selon les villes, la saison, le jour de la semaine. Globalement, ils sont ouverts de 9h à 18h, voire 22h dans certains cas, lorsqu’ils sont intégrés à un café. Les jours de relâche varient. Dimanche, dans les centres-villes, rappelez-vous, tout est désert car tout est fermé. Ainsi, la magique confeitaria Colombo est fermée le dimanche dans son adresse du centre de Rio. Les autres jours elle ferme à 18h ou 17h. Dans sa filiale du centre culturel de la Banco Do Brasil, elle est fermée seulement le mardi. Elle est fermée le lundi dans son adresse du fort de Copacabana. Les bars ferment souvent à minuit en fin de semaine, voire plus tard, jusqu’au dernier client. Dans la semaine, s’il y a peu d’affluence, ils ferment plus tôt. Beaucoup de bars proposent aussi des plats.
Manger quelques entremets, boire un verre sont des plaisirs peu coûteux en général. certains bars très jet set proposent de forts dispendieux cocktails, forcément. Le Brésil n’est plus un pays bon marché. Le prix des pauses gourmandes et des consommations alcoolisées est relativement semblable à ceux pratiqués en Europe. Le prix des en-cas salés ou sucrés est peut-être un peu moins cher. Certaines choses sont plus chères en revanche, le vin, à qualité égale sera un peu plus cher qu’en France. Le prix d’une bouteille de bière basique de 600 ml varie entre 7 et 11 R$ dans les bars de Belo Horizonte et São Paulo et 6 R$ la choppe, et 3,5 R$ le pastel de crevettes. Désormais, la mode de l’happy hour est de plus en plus présente dans les grandes villes brési- liennes. C’est alors l’occasion de se mélanger à moindre prix avec la gente bonita locale. Bien sûr, l’affluence est alors plus importante à ce moment ; pour un tête à tête en amoureux, c’est un peu plus compliqué
La loi brésilienne interdit de vendre et de servir de l’alcool aux mineurs. L’âge légal de majo- rité est fixé à 18 ans comme en France. Vous ne pourrez donc consommer de l’alcool si vous avez moins de 18 ans. Il est cependant très rare que l’on demande au client de justifier son âge avec des papiers d’identité
Discuter dans un "boteco", refaire le monde avec de nouveaux amis, en regardant jouer Atletico Mineiro ou Flamengo, c'est très local. La tradition, surtout à Rio, veut que l’on retrouve ses amis en fin d’après-midi, après la travail, ou plus prosaïquement après la plage, dans «son» botequim, bar de quartier à forte identité. C’est à partir du vendredi soir que cette pratique sociale bat son plein. On refait le monde, on commente le dernier match de son équipe de foot favorite et on parle du futur. Quand le temps s’y prête, fort heureusement assez souvent, l’ambiance des quartiers est à la fête.Dans les bars de plages ou les petits établissements, les habitués ont l’habitude de déposer les bouteilles de bière sous la table et lors de l’addition finale, elles servent de « factures ». Des petits malins glissent quelquefois leurs bouteilles dans le tas des voisins. Les amoncellements de bouteilles de bières sont souvent impressionnants en fin de soirée. La tradition du cafezinho offert aux convives semble être une tradition qui résiste, tant bien que mal, à l’évolution de la société brésilienne. Comme la cachaça, on peut se servir ou se faire servir de petites doses ou une tasse dans certains bars-restaurants traditionnels brésiliens. Ce sujet est si sérieux au Brésil que certaines thèses de doctorat s’y sont intéressées.
Les enfants sont acceptés dans les cafés, bien sûr, et dans les bars. La législation n’interdit pas la présence de mineurs dans les débits de bois- son... dans la mesure où ils ne consomment pas d’alcool bien sûr
Comme dans tous les lieux fermés destinés à recevoir du public, il est interdit de fumer dans les bars et les cafés. Comme en France, il faudra sortir de l’établissement si la nicotine vous manque