VILLA FORTUNA
Pension avec une terrasse et une superbe cour à l'arrière comportant des chambres avec ...Lire la suite
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Sur une semaine pour deux personnes, le budget hébergement revient à environ 300 € en dormant dans des auberges de jeunesse et des hôtels de première catégorie, 400/700 € dans des hôtels de charme et plus de 1 000 € dans des établissements plus luxueux. Les prix sont en général moins élevés en hiver, sauf dans les stations de ski. Le petit déjeuner est presque toujours inclus et une majorité d’hôteliers acceptent les paiements par carte bancaire (prévoyez cependant du liquide au cas où…).
On conseille vivement de réserver bien en amont vos hôtels si vous venez en été. C’est la période la plus touristique et celle durant laquelle la diaspora rentre au pays. C’est aussi la saison des festivals. En particulier à Sarajevo, pendant le festival du Film (mi-août) : la plupart des hôtels de la capitale affichent alors complet.
Le meilleur petit déjeuner que vous puissiez attendre des hôtels de Bosnie-Herzégovine se compose d’uštipci, des petits beignets à manger avec de la confiture ou du kaymak (entre le beurre et la crème fraîche), ou de peksimeti (des uštipci plus aériens avec du yaourt), de burek (de la pâte filo fourrée au fromage ou aux herbes), de fruits, de crudités, de fromage, de salaisons (du jambon cru dans les établissements non musulmans) et se termine par un café bosnien. Préférez les petits hôtels familiaux et les auberges qui ont aussi souvent un bon restaurant.
Dans les lieux publics clos, et donc les hôtels, il est officiellement interdit de fumer. Mais les hôteliers ont deux ans pour se conformer à la dernière loi antitabac votée en 2022. Pas certain que ça fonctionne partout.
Non seulement les mauvaises surprises sont rares, mais on peut bénéficier de ristournes inattendues hors saison. En revanche, on peut être étonné par le sens des affaires des hôteliers du village de pèlerinage catholique de Međugorje (non reconnu par le Vatican). Dans tous les cas, le plus choquant est de loin la ville de Višegrad : l’office de tourisme local recommande sans sourciller des hôtels qui furent les lieux des pires atrocités durant la dernière guerre.