Organiser son séjour au Népal
Argent au Népal
Au Népal. La monnaie officielle du Népal est la roupie népalaise, créée en 1932, pour remplacer le mohar d'argent. L'essentiel de la monnaie se présente sous forme de billets, avec des coupures plutôt importantes (5, 10, 20, 50, 100, 500 et 1 000 roupies). Comme dans de nombreux pays de la zone, on peut utiliser des dollars ou des euros pour régler une partie de ces frais au Népal, notamment les frais d'hébergement. C'est pourquoi les prix sont souvent affichés en dollars ou en euros. Vous pouvez néanmoins toujours payer en roupies népalaises ; il faudra juste faire les conversions. À noter que la monnaie népalaise n'est pas convertible : vous ne pourrez donc pas en trouver en dehors des frontières du pays et surtout pas en Inde.
Pour changer vos euros ou dollars en roupies népalaises, on trouve des bureaux de change et des banques dans tous les endroits touristiques. En revanche, prévoyez si vous partez en trek ou dans les campagnes. Les banques proposent souvent un taux de change plus intéressants que les bureaux de change, mais ces derniers sont ouverts tous les jours (généralement de 9h à 21h). Dans tous les cas, prévoyez un passeport pour la transaction. Taux de change (juin 2023) : 1 US$ = 83 Rs et 1 € = 91 Rs.
Au Bhoutan. La monnaie nationale du royaume du Bhoutan est le ngultrum (Nu). Il existe des billets de 1 000, 500, 100, 20, 10, 5 et 1 ngultrum. Cette devise est à parité avec la devise indienne, qui a, elle aussi, cours au Bhoutan. Taux de change (juin 2020) : 1 US$ = 75 Nu et 1 € = 85 Nu.
Budget / Bons plans au Népal
Au Népal. Le Népal est une destination peu onéreuse. On peut tout à fait s’en sortir avec 30 €/jour/personne pour un logement confort (à partir de 2 500 Rs pour un lit), des repas de cuisine du monde, des visites, et des transports en bus touristique haut de gamme (à partir de 20 US$) ou en taxi. On peut aussi visiter le Népal en profitant au maximum des hôtels de luxe (à partir de 100 €/nuit), des restaurants de luxe et surtout privilégiez les transports intérieurs en avion plutôt qu'en bus. Oui, bien que le Népal soit avant tout une destination pour backpackers, on peut aussi trouver de véritables oasis de luxe partout dans le pays !
- Le pourboire est une pratique qui se répand. Il est généralement inclus dans la taxe de 10 %, dite pour le « service ». Pour les trekkeurs, il est de bon ton de donner un pourboire à vos porteurs et à votre guide (à donner séparément) en fin de trek. Comptez, si vous êtes satisfait du service, environ 300 Rs/jour.
- Le marchandage est une pratique plus que courante (ainsi, attention aux prix annoncés par les chauffeurs de taxi ou les vendeurs de souvenirs au premier abord !). Pour vous faire une idée du prix réel d'un produit, n'hésitez pas à faire plusieurs magasins et discuter les prix pour obtenir un prix qui vous semble le plus juste. On rappellera qu'une différence de quelques roupies ne représente pas grand-chose pour vous, mais qu'elle peut être très appréciable pour le vendeur en question.
- Taxes : tous les établissements incluront à la fin de votre addition une taxe de 10 % pour le « service » et les établissements de luxe une taxe supplémentaire dite gouvernementale de 13 %.
Au Bhoutan. Le royaume du Bhoutan est une destination onéreuse du fait de sa politique de visa, désormais accessibles seulement aux plus fortunés. Avant 2023, il fallait compter 200 à 250 US$/jour/personne suivant la saison pour un « visa », en fait un package incluant tout : le visa proprement vit, les hôtels, repas, transport et visite. Mais depuis 2023, il faut payer 200 US$/jour/personne de visa simplement pour respirer au Bhoutan. Il faudra payer le vol (450 US$ A/R), les repas, les transports et les visites en plus, soit à peu près le double. Le Bhoutan a néanmoins fait un peu machine arrière depuis car il propose des promotions désormais à partir de 4 jours de visa achetés, 4 jours offerts.
Passeport et visas au Népal
Au Népal. L'obtention du visa népalais est obligatoire pour les touristes. Cela ne pose aucun problème, soit avant votre départ dans votre pays d'origine auprès de l'ambassade du Népal, soit en arrivant à l'aéroport de Katmandou (15 jours : 25 US$ ; 30 jours : 40 US$ ; 45 jours : 70 US$). Prévoyez une photographie d'identité. Pour gagner du temps à l’arrivée à l’aéroport de Katmandou, pensez à remplir le formulaire en ligne sur online.nepalimmigration.gov.np et à imprimer le reçu avec le code-barres. Cela vous permettra de vous rendre directement au comptoir pour payer votre visa.
Au Bhoutan. L'obtention du visa bhoutanais est obligatoire pour les touristes européens. Il faut vous mettre en relation avec une agence basée au Bhoutan ou à Katmandou qui organisera les démarches pour vous et vous acquitter de la somme demandée via virement bancaire ou en liquide à votre arrivée. Vous pouvez aussi depuis 2023 obtenir vous-même votre e-visa en ligne sur le site officiel du ministère du tourisme : www.visit.doi.gov.bt. Bonne nouvelle : il coûte depuis le 1er septembre 2023 et jusqu'au 31 août 2027 «seulement 100 US$ par jour et par personne pour les touristes payant en dollars américains», soit une réduction de 50 % sur le prix officiel de 200 US$ décidé l'année d'avant soudainement (pour ne sélectionner que des touristes ultra riches). Face à la chute des réservations en 2023, le Bhoutan a donc fait totalement machine arrière... et c'est tant mieux ! Sachez que vous payez automatiquement en dollars via une agence bhoutanaise ou en ligne, sur le portail officiel de demande de visa du Bhoutan. Donc vous bénéficiez de ladite promotion de «50%», soit 100 US$ par jour. Le visa coûte 50 % du prix (donc 50 US$ par jour) pour les 6-12 ans.
Conseil futé : avant de partir, pensez à photocopier tous les documents que vous emportez avec vous. Emportez un exemplaire de chaque document et laissez les autres à quelqu’un en France. En cas de perte ou de vol, les démarches de renouvellement seront beaucoup plus simples auprès des autorités consulaires. Vous pouvez également conserver des copies sur le site Internet officiel (mon.service-public.fr).
Permis de conduire au Népal
Au Népal. Pas besoin de permis pour conduire mais on vous déconseille fortement de louer une voiture si vous tenez à rester en vie vu l’état des routes et la conduite des Népalais.
Au Bhoutan. Vous n’en aurez pas besoin puisque les étrangers ne louent pas de voiture au Bhoutan.
Santé au Népal
Les problèmes les plus fréquents rencontrés sont les insolations, les difficultés de digestion dues au manque de familiarité avec la cuisine et les piqûres, surtout de moustiques. Pensez donc à vous munir d’antimoustiques, de crème solaire, de cachets pour calmer les aigreurs d’estomac, la diarrhée et autres désagréments. Voici quelques règles basiques d’hygiène pour limiter les risques sanitaires et tout désagrément susceptible de gâcher votre voyage : se laver les mains régulièrement ; se couper les ongles courts ; éviter le contact avec de l'eau stagnante ; éviter de toucher les chats et chiens errants ; se munir d'un antimoustique efficace et d'un antipaludisme si vous vous rendez au Teraï pendant la mousson ; transporter des comprimés désinfectants pour l'eau ; attention aux sangsues dans la région du Teraï pendant la mousson ; pour les personnes fragiles des poumons, prévoyez un masque pour vous promener dans Katmandou qui est une ville très polluée.
Et dans la trousse à pharmacie ? Désinfectant, pansements, Stéristrip ou bande ordinaire, paracétamol, antibiotique, antidiarrhéique, désinfectant intestinal, antiallergique, anti-inflammatoire, médicament contre le mal des montagnes, collyre désinfectant.
Conseil futé : pour vous informer de l’état sanitaire du pays et recevoir des conseils, n’hésitez pas à consulter votre médecin. Vous pouvez aussi vous adresser à la Société de médecine des voyages du centre médical de l’Institut Pasteur au ✆ 01 40 61 38 46 (www.pasteur.fr/sante/cmed/voy/listpays.html) ou vous rendre sur le site du Cimed (www.cimed.org), du ministère des Affaires étrangères à la rubrique « Conseils aux voyageurs » (www.diplomatie.gouv.fr/voyageurs) ou de l’Institut national de veille sanitaire (www.invs.sante.fr).
Parmi les maladies présentes au Népal et au Bhoutan :
- La bilharziose est la maladie tropicale entraînant le plus fort taux de mortalité après le paludisme (200 millions de personnes atteintes dans le monde). Après une période d'incubation allant de trois semaines à six mois, la maladie se manifeste par de fortes fièvres, du sang dans les urines ou des réactions allergiques cutanées. La meilleure prévention est de limiter tout contact avec les eaux stagnantes non salées. La bilharziose se soigne très bien une fois détectée.
- Le choléra. Cette infection contagieuse provoque des diarrhées brutales, entraînant la déshydratation. En l’absence de traitement, une infection majeure est fatale dans la moitié des cas. L’efficacité du vaccin n’est pas absolue : il ne protège que la moitié des sujets vaccinés. La prévention contre cette maladie est semblable à celle contre les autres maladies diarrhéiques.
- La tourista ou diarrhée du voyageur. Statistiquement, un voyageur sur deux est touché par la tourista au cours des 48 premières heures de son séjour. Ces diarrhées et douleurs intestinales sont dues à une mauvaise hygiène, à la cuisson insuffisante des aliments, à une nourriture trop épicée ou, le plus souvent, à l’eau. 80 % des maladies contractées en voyage sont en effet directement imputables à une eau contaminée. Ces troubles disparaissent en général en un à trois jours. Prenez un antidiarrhéique, un désinfectant intestinal et hydratez-vous bien. Si la diarrhée persiste ou s’accompagne de pertes de sang ou de glaires, consultez un médecin. Pour éviter ces désagréments, achetez des bouteilles d’eau scellées, faites bouillir l’eau (préférez le café et le thé aux jus de fruits), évitez les crudités ou les fruits non pelés, bannissez les glaçons, ne vous brossez pas les dents avec l’eau du robinet et ayez toujours sur vous des comprimés désinfectants.
- L’encéphalite japonaise est transmise par un moustique à activité nocturne, principalement en milieu rural. Selon les régions, la transmission est pérenne, ou limitée à la saison des pluies ou à la saison chaude. La plupart des formes de la maladie sont sans symptômes, mais elle peut aussi entraîner des séquelles neurologiques graves, voire la mort. Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) ne préconise pas de se faire vacciner systématiquement mais, depuis septembre 2013, le recommande vivement pour les enfants âgés de 2 mois et plus, pour les adultes en cas d'expatriation ou de séjour avec exposition en milieu extérieur en zones rurales.
- La grippe aviaire touche habituellement les volatiles. Toutefois, le virus peut se transmettre à l’homme. Cette transmission ne concerne en principe que des personnes en contact direct avec les animaux atteints, mais certains cas ont pu suggérer une exceptionnelle transmission de personne à personne. Pour prévenir la transmission : évitez les endroits à risque élevé, comme les fermes d’élevage de volailles et les marchés d’animaux vivants, et évitez tout contact direct avec les oiseaux.
- L’hépatite A est le plus souvent bénigne mais elle peut se révéler grave, notamment au-delà de 45 ans et en cas de maladie hépatique préexistante. Elle s’attrape par l’eau ou les aliments mal lavés. Si vous êtes porteur d’une maladie du foie, la vaccination contre l’hépatite A est hautement recommandée avant tout type de voyage où l’hygiène est précaire.
- L’hépatite B se contracte lors de rapports sexuels ou par le sang. Le vaccin contre l’hépatite B est à faire en deux fois à un mois d’intervalle (mais il existe des vaccinations accélérées en un mois pour les voyageurs pressés), puis un rappel six mois plus tard pour renforcer la durée de la protection.
- La leishmaniose ou lèpre des montagnes est transmise (rarement) par les moustiques dans les régions reculées où la végétation est luxuriante. Elle a quatre variantes dont la plus sérieuse peut entraîner la mort en deux ans, faute de traitement adapté. Les symptômes classiques sont des plaies cutanées, des ulcères chroniques, des nodules au visage, de la fièvre ou encore une anémie. Un traitement médicamenteux entrepris à temps permet aux sujets de recouvrer la santé.
- La méningite à méningocoques se transmet par contact étroit ou par les sécrétions nasopharyngées. Fièvre, maux de tête, vomissements, raideur de la nuque, léthargie en sont les symptômes les plus courants. La mise en place rapide d’un traitement antibiotique en intraveineuse, pendant une dizaine de jours, est le seul moyen pour lutter contre la méningite à méningocoques. La vaccination est recommandée en période d’épidémie et pour les individus de moins de 30 ans.
- Il y a un risque de paludisme dans les zones rurales de certaines régions. En tout état de cause, il est absolument nécessaire de rencontrer un médecin en cas de forte fièvre survenant durant votre séjour ou dans le mois suivant votre retour. En plus des cachets, réduisez les risques de contraction du palu en évitant les piqûres de moustiques (répulsif, vêtements couvrants, moustiquaire...). Entre le coucher et le lever du soleil, a fortiori près des points d’eau stagnante, les risques de se faire piquer sont les plus élevés.
- La rage. Au vu du nombre de chiens errants au Népal et au Bhoutan, il vaut mieux éviter tout contact avec les chiens, les chats et autres mammifères pouvant être porteurs du virus. L’apparition des premiers symptômes (phobie de l’air et de l’eau) varie entre 30 et 45 jours après la morsure. Une fois ces symptômes constatés, le décès intervient en quelques jours, dans 100 % des cas. En cas de doute, suite à une morsure, il faut donc absolument consulter un médecin.
- La fièvre typhoïde est une infection bactérienne qui se traduit par de fortes fièvres, une diarrhée fébrile et des troubles de la conscience. Les formes les plus graves peuvent engendrer des complications digestives, neurologiques ou cardiaques. La contamination se fait par les selles ou la salive, de manière directe (contact humain) ou indirecte (ingestion d’aliments contaminés : crudités, fruits de mer, eau et glaçons). Le vaccin, actif au bout de deux à trois semaines, vous protège pour trois ans.
En cas de maladie, un réflexe : contacter le consulat de France. Il se chargera de vous aider et vous fournira la liste des médecins francophones. En cas de problème grave, c’est aussi lui qui prévient la famille et qui décide du rapatriement. Pour connaître les urgences et établissements aux standards internationaux, consulter les sites : www.cimed.org – www.diplomatie.gouv.fr – www.pasteur.fr
Vaccins obligatoires au Népal
Il n’y a pas de vaccin obligatoire pour le Népal et le Bhoutan. Néanmoins, on vous recommande vivement d’être à jour des vaccins traditionnels (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche). La vaccination contre l’hépatite A est recommandée en l’absence d’immunité antérieure (d’autant plus fréquente si vous avez des antécédents de jaunisse, de séjour prolongé à l’étranger ou si vous êtes âgé de plus de 45 ans) car elle est l’une des causes les plus fréquentes d’origine alimentaire. De même que la vaccination contre l’hépatite B. Le vaccin contre la rage est également recommandée car le Népal et le Bhoutan abritent pas mal de chiens errants, souvent porteurs de la maladie. Si vous prévoyez de vous rendre dans le Teraï, attention à l’encéphalite japonaise. Là encore, il peut être prudent de se faire vacciner.
Sécurité au Népal
Le Népal et surtout le Bhoutan sont des destinations relativement sûres. On retiendra néanmoins pour le Népal la nécessité de ne pas partir en trek seul. Cette règle est rappelée tous les trois mois par le ministère du Tourisme à la suite d'accidents survenus sur des parcours de treks – même faciles à réaliser – à des voyageurs isolés. On peut tout à fait voyager au Népal et au Bhoutan avec des enfants, à condition d’appliquer les règles d’hygiène élémentaires.
Décalage horaire au Népal
Le Népal est en avance de 5 heures 45 sur l'heure de Greenwich.
Le Bhoutan est en avance de 6 heures sur l'heure de Greenwich.
Langues parlées au Népal
Au Népal. La langue officielle est le népali, d’origine indo-européenne. Il existe cependant beaucoup de dialectes au Népal, presque autant qu'il y a d'ethnies ! Si vous ne deviez apprendre qu’un seul mot, ce serait « namaste » qui s’emploie au quotidien pour dire : « Bonjour », « Comment allez-vous ? »… et s’accompagne d’un mouvement des mains jointes.
Au Bhoutan. La langue officielle du royaume himalayen est le dzongkha, proche du tibétain. Elle était une langue orale uniquement jusque dans les années 1960. Néanmoins, l’anglais est largement enseigné à l’école et nombre de Bhoutanais le parlent couramment.
Communiquer au Népal
Le téléphone fonctionne très bien au Népal et au Bhoutan. Pensez avant de partir à activer l’option internationale (généralement gratuite) en appelant le service clients de votre opérateur. Qui paie quoi ? La règle est la même chez tous les opérateurs. Lorsque vous utilisez votre téléphone français à l’étranger, vous payez la communication, que vous émettiez l’appel ou que vous le receviez. Dans le cas d’un appel reçu, votre correspondant paie lui aussi, mais seulement le prix d’une communication locale. Tous les appels passés depuis ou vers l’étranger sont hors forfait, y compris ceux vers la boîte vocale. Les communications depuis le Népal et le Bhoutan sont très chères. Autant que possible, essayez de vous connecter au Wifi et d’utiliser WhatApp, Skype ou Messenger. Vous pouvez aussi acheter une carte SIM sur place. Pour vous connecter à l’étranger gratuitement, il faut vous connecter à un réseau Wifi. Désactivez dans vos réglages les « données à l’étranger » pour éviter que votre téléphone mobile se connecte à tout bout de champ à tous les réseaux disponibles. Sachez que le réseau Internet est relativement bon au Népal et au Bhoutan.
Electricité et mesures au Népal
Au Népal. Le courant électrique utilisé est du 220 volts. Les prises sont les mêmes qu'en France mais un adaptateur peut parfois s’avérer utile car l’écartement des bornes est parfois différent. A noter cependant qu’à Katmandou, les coupures d'électricité sont très fréquentes. Le Népal utilise le kilogramme comme unité de mesure du poids. Pour les mesures, le système métrique est couramment utilisé par les Népalais qui le mélangent aussi parfois avec le système anglais.
Au Bhoutan. Le courant électrique utilisé est du 220 volts et le pays utilise le kilogramme et le système métrique.
Bagages au Népal
Le Népal étant une terre de backpackers, vous y trouverez toutes sortes de vêtements à des prix imbattables. Ne vous surchargez pas ! Si vous envisagez un trek, mieux vaut prévoir de marcher léger ! Les indispensables : de bonnes chaussures de marche, plusieurs paires de chaussettes de marche, des vêtements imperméables peuvent être suffisants dans la mesure où vous trouverez tous les autres articles, à louer ou à acheter sur place. Sur les sentiers de treks, essayez autant que possible de prévoir une tenue respectueuse (pas de mini short).
Au Bhoutan. Une certaine bienséance vestimentaire étant de rigueur au Bhoutan, pensez à prendre des vêtements casual qui couvrent les jambes et les épaules. Dans les dzongs, pensez à prévoir une veste légère qui vous couvrira les bras (pour les hommes) et/ou un foulard (pour les femmes). On vous recommande également d’emporter une petite laine car les soirées peuvent être fraîches en altitude. De même, si vous envisagez un trek, de bonnes chaussures de marche, un pantalon (de marche lui aussi) et un coupe-vent peuvent être un bon début.