Pourquoi aller en Jamaïque ? Les 10 bonnes raisons d'aller en Jamaïque

A Kingston, là où se trouvent la majorité des musées, les horaires sont vraiment variables d'un endroit à l'autre (vérifiez bien avant de vous y rendre), mais peu sont ouverts le samedi et encore moins le dimanche. Ils ferment tôt, entre 16h et 18h. 

Pour les sites naturels, en général situés sur les contreforts montagneux de l'île, dans la jungle, comme les rivières, les cascades (comme Dunn's River Falls, YS Falls, etc.), ou encore le Blue Hole, gardez bien en tête qu'il fait brusquement nuit à 18h, vous êtes sous les tropiques ! Donc pour avoir une clarté de bleu de l'eau des cascades et de la rivière sous le soleil, arrivez plutôt entre 10h et 14h même si les sites sont souvent ouverts jusqu'à 16h.

Le grand rendez-vous musical jamaïcain est le Reggae Sumfest qui a lieu chaque année à Montego Bay en juillet. Il faut réserver sa place bien en amont.

Il faut savoir que les visites sont assez onéreuses en Jamaïque, presque tous les musées sont privés. L'Institute of Jamaica qui présente de belles collections muséales reste très abordable, les autres visites coûtent en général 20 US$ l'entrée pour adulte et la visite guidée est souvent comprise. Les tours dans les parcs d'attractions sont plutôt entre 50 et 150 US$ par personne (nager avec les dauphins, tyrolienne, descente en rafting jamaïcain, etc.).

Les visites de musées et de plantations sont souvent guidées, et un pourboire est attendu à la fin de la visite. Pour découvrir une Jamaïque authentique, des agences réceptives (comme la franco-jamaïcaine Latitude Jamaica) proposent aussi de sortir des sentiers battus pour aller à la rencontre de la population.

On peut fumer en Jamaïque, pas à l'intérieur mais quasiment partout à l'extérieur, ganja comprise. Même si les touristes sont censés avoir une ordonnance pour avoir le droit d'en consommer (qui peut être faite dans la minute dans des shops qui en vendent), la police n'est pas là pour vérifier que la loi est respectée et que les touristes se baladent bien avec leur ordonnance. Elle a - il faut dire - autre chose à faire dans les ghettos difficiles au vu du taux de criminalité du pays, et c'est aussi une volonté claire : la ganja est un business qui fait aussi partie désormais des attraits touristiques de l'île.

Des hustlers attendent les touristes dans les zones très touristiques de Ocho Rios à Negril. Du lavage de voiture à la vente de drogue en passant par une visite de ville ou de quartier ou simplement le racket d’une pièce ou d’une cigarette, la liste des services qu’ils offrent et des activités qu’ils pratiquent est illimitée.