MARCHÉ DU JEUDI
Des livres ou des vêtements d’occasion, des jouets ou de petits trésors. Vous trouverez de ...Lire la suite
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N’attendez pas le samedi après-midi pour faire vos courses. Comme dans toute l’Espagne, les commerces sont le plus souvent fermés, sauf les enseignes très touristiques. Les petits commerces ouvrent généralement de 10h à 14h et de 17h à 20h (avec une heure de décalage en été). Les grands magasins ouvrent tous les jours, sauf le dimanche, et parfois jusqu’à 22h (fêtes ou soldes).
Côté vêtements, toutes les marques espagnoles affichent des réductions qui varient entre 20 et 30 % par rapport à la France. De plus les modèles proposés diffèrent souvent de ceux présentés en France. Les amateurs de brocante pourront rallier le marché du jeudi, calle feria, qui se veut le Notting Hill sévillan. Après, il faudra marchander.
A Séville, les soldes d’été ont lieu en juillet en en août, pratique pour les vacances, et en février pour celles d’hiver. Encore inconnu en 2010, le Black Friday s’est développé, avec le même mouvement d’extension qu’ailleurs jusqu’au Cyber Monday, une semaine plus tard.
Une partie de l’artisanat de Séville est très lié à la Semaine sainte et à la feria. Dans la calle Serpies, il y aura de quoi se fournir en superbes robes à volants, pour danser le flamenco ou la sévillane. Pour tout ce qui est artisanat, on préférera les centres d’artisanat comme El Postigo (calle Arfe) , aux produits 100 % locaux et bien sourcés. Pour acquérir des éventails, des châles, des bijoux pour les cheveux, des sacs et surtout des céramiques et des poteries. Avec l’objet qui monte, l’azulejos que l’on utilise comme objet de décoration. Côté poteries, un passage par Triana, son berceau historique, s’impose. Pour acquérir une cruche, des jarres, des tasses, des plats ou des pots. Pour tout ce qui est légumes, fruits, charcuterie, etc., mieux vaut rallier les marchés, très bien approvisionnés. Incluant souvent de petits points de dégustation. Et on ne repartira pas sans huile d’olive, le trésor local.
Les boutiques « attrape-touristes » pullulent aux abords des monuments les plus visités comme la cathédrale. Et sont bien sûr le triomphe du made in china.