Histoire Histoire

Résumer l'histoire romaine n'est pas chose aisée puisqu'on le sait tous, Rome ne s'est pas faite en un jour ! Sa légendaire création en 753 av. J.-C figure dans tous les livres d'histoire comme un élément clef. Avec Athènes, Rome est considérée comme le berceau de la civilisation moderne occidentale, d'où le fameux Roma caput mundi, Rome capitale du monde. Elle fut d'ailleurs, durant l'Empire romain, la plus grande ville du monde, reliée à merveille vers tous les autres territoires de son vaste empire. Son réseau routier était impressionnant et son tracé est encore respecté aujourd'hui, d'ailleurs, ne dit-on pas que tous les chemins mènent à Rome ? L'histoire romaine est aussi indissociable de celle du catholicisme, la ville abritant le plus petit État indépendant du monde, le Vatican. De la grandeur de l'Empire aux actuelles contestations contre la corruption municipale ou la crise des déchets, Rome est une ville pleine de contradictions où des vestiges d'un glorieux passé côtoient un chaos urbain réputé ingérable. Pour en savoir plus sur son histoire, nous vous proposons une chronologie des événements les plus importants de ses origines à aujourd'hui, des jumeaux Romulus et Rémus à l'actuel maire de la ville, Roberto Gualtieri.

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De 753 à 509 av. J.-C

La Rome royale, cette longue période de près de 250 ans, communément appelée la « royauté », est marquée par sept règnes.

749 av. J.-C

Après sa fondation, Rome devint une monarchie et son premier roi est bien sûr Romulus. Toutefois, pour qu'elle puisse devenir une cité à la hauteur de ses concurrentes étrusques ou sabines, il faut résoudre un problème démographique et trouver des femmes prêtent à épouser les Romains ! Romulus n'aurait donc pas hésité à aller les chercher directement chez les Sabins, lors du légendaire épisode de l'enlèvement des Sabines, en 749 av. J.-C. Ce rapt qui eut lieu quelques années après la création de la ville fut brillamment raconté par Plutarque ou Tite-Live dans son Histoire de Rome. Cet épisode est suivi d'une guerre des Romains contre les Sabins qui se conclut par une réconciliation des deux peuples.

Romulus et Remus © Oleg Senkov - Shutterstock.com.jpg

Entre 745 et 740 av. J.-C

Naissance d'un gouvernement bicéphale entre Romulus et le Sabin Titus Tatius.

740 av. J.-C - 616 av. J.-C

Dynastie sabine. À la mort de Romulus et Titus Tatius, c'est Numa Pompilius, un Sabin, qui devient roi de Rome. La dynastie se poursuit avec les règnes de Tullus Hostilius et Ancus Martius.

616 av. J.-C – 509 av. J.-C.

Dynastie étrusque avec les règnes de Tarquin l'Ancien, Servius Tullius et Tarquin le Superbe.

509 av. J.-C.

Chute de la royauté, notamment en raison du mythique suicide de Lucrèce, femme romaine et épouse de Tarquin Collatin, qui fut violée par le fils de Tarquin le Superbe. Révoltée par cet incident, le peuple de Rome mené par Junius Brutus se soulève et chasse la famille royale. S’ensuit la naissance de la République à Rome.

De 509 à 29 av. J.-C. : la République romaine

C'est durant cette longue période que le territoire romain s'étendra au gré des différentes guerres de conquête.

390 av. J.-C.

Le Sac de Rome. Les hordes gauloises envahissent Rome avant d'y mettre le feu. Cette expédition dévastatrice pour Rome, qui avait acquis une certaine suprématie en développant son territoire, fut menée par Brennus. Outre la destruction de bâtiments, ce sont aussi des tas d'archives qui sont parties en fumée, c'est la raison pour laquelle nous possédons peu d'informations sur les premières années de la République.

343 à 272 av. J.-C.

La conquête de l'Italie. Rome renaît de ses cendres et part à la conquête de la péninsule en conquérant le Latium et le sud de l'Italie, la Magna Grecia.

264 av. J.-C.

Rome brigue la Sicile qui est contrôlée par les Grecs et les Carthaginois, ce qui conduit à la première guerre punique contre Carthage.

218 – 201 av. J.-C.

Deuxième guerre punique pour conquérir la péninsule Ibérique. Les troupes puniques, avec Hannibal à leur tête, prennent la route de Rome depuis l'Espagne et multiplient les victoires contre les troupes romaines.

202 av. J.-C.

Victoire de Rome contre Carthage grâce à Scipion l'Africain au cours de la bataille de Zama.

60 av. J.-C.

Premier triumivirat – alliance de trois personnes au pouvoir – entre Crassus, César et Pompée. Mais la République est affaiblie, Rome est en marche vers l'Empire.

49 - 45 av. J.-C.

Une guerre civile éclate entre César et Pompée pour obtenir le pouvoir absolu. César sort victorieux mais il est assassiné en 44 av. J.-C.

43 av. J.-C.

Second triumvirat entre Octave, le petit-neveu de César, Marc-Antoine et Lépide.

29 av. J.-C - 14

Octave, dorénavant nommé Auguste – le Consacré –, règne seul et instaure les bases d'un nouveau gouvernement : le principat, constituant la première phase de l'Empire romain. Il est donc le premier empereur romain et avec lui débute une longue période de stabilité nommée Pax Romana. Octave Auguste est particulièrement attaché à la sécurité de l'Empire et consolide donc ses frontières. Il achève la pacification de l’Espagne, annexe la Judée et plusieurs régions proches du Danube qui deviennent des provinces romaines. Il est toutefois confronté à un échec : la Germanie qui ne se soumettra jamais. Outre ces conquêtes, Octave Auguste tend à une réorganisation de la société romaine en basant son régime sur une politique conservatrice, condamnant notamment les célibataires. Le pouvoir d'Octave Auguste est quasi absolu, il est fondé sur le cumul de plusieurs magistratures civiles, sur le soutien de l’armée et sur la direction de la religion d’État par le grand pontificat.

Octave © Francesco Todaro - Shutterstock.com.jpg

14 à 37

La dynastie julio-claudienne commence à régner sur l'Empire romain. Tibère, fils d'Octave Auguste, devient empereur de Rome.

37 à 41

Règne de Caligula. Violent, excentrique, il va se livrer à des excès qui passeront à la postérité.

41 à 54

Claude, l'oncle de Caligula, lui succède. Il adopte le fils de sa compagne Agrippine, le fameux Néron, au détriment de son propre fils Britannicus qui est assassiné. C'est cette histoire que Racine raconte dans sa célèbre tragédie Britannicus : un classique à relire pour s'immerger dans l'histoire romaine !

54 – 68

Néron est au pouvoir, son suicide en 68 marque la fin de la dynastie julio-claudienne.

64

Rome est ravagée par un grand incendie qui détruit complètement trois de ses quatorze quartiers. Les chrétiens sont accusés d'avoir déclenché le feu et sont persécutés.

69 – 96

La dynastie flavienne règne pendant près de trente ans. Durant cette période est achevé l'amphithéâtre flavien, mieux connu sous le nom de Colisée, en 80, sous le règne de Titus.

96 – 192

La dynastie des Antonins règne sur Rome.

192 – 235

La dynastie des Sévères est au pouvoir lorsque l'Empire traverse une période d'anarchie militaire et de troubles aux frontières, notamment sous le règne du brutal et cruel Caracalla.

284

Construction du mur d'Aurélien qui enserre Rome pour la protéger des attaques. Une grande partie de ce mur subsiste encore, constituant la limite du centre historique.

02 La Porte Asinaria du Mur d’Aurélien. © David Ionut -shutterstock.com.jpg

284 – 305

Règne de Dioclétien qui effectue des réformes militaires, fiscales, économiques et sociales, mais Rome perd toujours plus d’importance au détriment de l’Orient : désormais, elle n’est plus au centre du monde ! En 286, il réorganise le gouvernement de l’Empire, doté d’une direction bicéphale : Dioclétien gouverne l’Orient et s’adjoint un co-régnant pour l’Occident en la personne de Maximin.

306 – 337

Règne de Constantin Ier durant lequel il fonde, en 330, la ville de Constantinople et y déplace sa capitale. L'Empire commence alors à se scinder en deux, courant à sa perte.

476

La fin de l'Empire romain d'Occident lors du règne de Romulus Augustule marque historiquement le début du Moyen Âge, période beaucoup moins florissante de l'histoire romaine durant laquelle s'alternent invasions, pillages et luttes de pouvoir. La grandeur de l'Empire n'est plus.

800

Charlemagne est sacré empereur à Rome, dans la continuité de l'Empire romain d'Occident. Toutefois, après sa mort en 814, la ville est de nouveau en proie aux querelles : le pape, qui sacre l'empereur, revendique son pouvoir sur ce dernier.

1303

Clément V est élu pape. Il décide alors de s'installer en Avignon. Pendant 70 ans, Rome n'est plus le siège papal.

1378 – 1417

Le grand schisme d'Occident. Deux papes règnent : l'un à Rome, l'autre en Avignon.

1417

Élection de Martin V, Rome devient de nouveau le siège papal. C’est également le début de la Renaissance – ou Rinascimento –, une période dorée pour l'Italie qui accueille parmi les plus grands artistes de l'époque. À Rome, les papes ont une véritable influence sur l'architecture Renaissance : Nicolas V décide, par exemple, de remplacer l'antique basilique Saint-Pierre par un édifice plus au goût du jour. Les travaux dureront jusqu'en 1626, poursuivis par ses successeurs et portés par le projet de Bramante.

1477 – 1483

Durant le pontificat de Sixte IV, la chapelle Sixtine est construite, celle-ci porte d'ailleurs son nom. Pour l'occasion, le pape choisit bien ses artisans puisqu'il la fait décorer par Pérugin, Signorelli, le Pinturicchio, Ghirlandaio et Botticelli ! Pour le bien connu plafond de Michel-Ange, il faudra attendre 1512, sous la volonté du pape Jules II della Rovere.

1527

Le Sac de Rome. La construction de Saint-Pierre a laissé peu de ressources au siège papal et l'économie est très fragile. Luther engage sa Réforme contre le faste de l'Église. Il laisse ses mercenaires protestants mettre à sac Rome. Le pape Clément VII s'enfuit à Orvieto avant de revenir à Rome en 1528, lorsque la paix est faite.

1541

La fresque du Jugement Dernier de Michel-Ange est achevée pour la Chapelle Sixtine, il s'agit de l'un des chefs-d’œuvre du maniérisme, au service de la Contre-Réforme en cours.

1545 - 1563

Le concile de Trente ouvre la voie à l'architecture baroque à Rome, entrant nettement en opposition avec la sobriété des luthériens et des calvinistes. La place Navone illustre à merveille ce mouvement.

1798

Les armées françaises de Napoléon Bonaparte envahissent les États pontificaux.

1846 - 1878

Giovanni Maria Mastai Ferretti devient le pape Pie IX en 1846. Son pontificat dure 31 ans et demeure le plus long de l'histoire, après saint Pierre. Pie IX est aussi le dernier souverain des États pontificaux. Son rôle prend une importance primordiale lors de l'unification italienne. Pour les politiques de l'époque, Vittorio Emanuele II en tête, il allait de soi que Rome, alors capitale des États pontificaux, devait être annexée au Royaume d'Italie et devienne sa capitale. S'ensuivent alors neuf années de troubles, jusqu'à ce que Rome soit prise par les troupes italiennes en 1870. Pie IX, refusant d'admettre cette Italie unifiée, se réfugie au Vatican. Il se considère alors prisonnier de l’État et interdit aux catholiques italiens de participer à la vie politique. Dès lors, une controverse au sujet du statut de Rome, capitale de l'Italie et siège du pouvoir du pape, éclate. Connue sous le nom de questione romana, elle n'est réglée qu'en 1929 avec les Accord du Latran. Jusqu'à sa mort en 1878, Pie IX s'est considéré prisonnier politique.

Giovanni Maria Mastai Ferretti © Marzolino - Shutterstock.com.jpg

1861

L'Unité italienne est proclamée, Vittorio Emanuele II est le premier roi d'Italie et Turin est la première capitale. Jusqu'ici, le territoire était encore morcelé en différents royaumes.

20 septembre 1870

Les troupes italiennes menées par le général Cadorna pénètrent à Rome par la Porta Pia. Le 2 octobre, l'annexion des États pontificaux est confirmée et Rome devient capitale de l'Italie.

28 octobre 1922

Près de 25 000 partisans du Parti National Fasciste – nommés camicie nere, envahissent la ville lors de « la Marche sur Rome ». Ils souhaitent prendre le pouvoir et menacent d'y accéder par la force.

30 octobre 1922

Le roi Vittorio Emanuele II cède à leurs revendications et chargent leur leader, Benito Mussolini, de constituer un gouvernement. Une période sombre de plus de vingt ans débute, mieux connue sous le nom de ventennio fascista. Ces années laissent leurs traces dans l'architecture romaine (voir le dossier consacré à l'architecture fasciste).

1931

Rome atteint un million d’habitants.

4 juin 1944

Rome est libérée de l'occupation allemande par les alliés anglo-américains.

Les forces alliées dans Rome, juin 1944 © Tanner (Capt), War Office official photographer - Wikimedias Commons.jpg

2 juin 1946

La monarchie est abolie.

27 décembre 1947

Une nouvelle constitution est adoptée, établissant une démocratie parlementaire toujours en vigueur aujourd'hui. Les lieux de pouvoir les plus importants sont : le Quirinal où siège le président de la République, le Palazzo Chigi qui accueille le Conseil des ministres, le Palazzo Madama abrite le Sénat et le Palazzo Montecitorio, la Chambre des députés.

Les années 50

Ces années prospères sont marquées par le développement économique de Rome avec notamment l'ouverture de la première ligne de métro, la ligne B actuelle.

Le 25 mars 1957

Le traité de Rome créant le Communauté Économique Européenne est signé.

1960

Rome accueille les Jeux olympiques et se dote pour l'occasion de nouvelles infrastructures comme le stade Flaminio.

1975 – 1985

Les « années de plomb ». Rome est frappée par une vague de terrorisme. C'est à cette même époque, en 1981, que le pape Jean-Paul II fut victime d'un attentat.

1978

Aldo Moro naît dans les Pouilles, au sud de l'Italie, en 1916. Il est considéré comme l'un des fondateurs de la Democrazia Cristiana, parti politique qui voit le jour clandestinement en 1943, en réaction au fascisme et en s'inspirant de certains doctrines de l’Église catholique. Jusqu'en 1994, la Democrazia Cristiana fait partie intégrante de tous les gouvernements du pays. En 1978, l'affaire Aldo Moro bouscule l'Italie. L'homme politique est enlevé le 16 mars alors qu'il se rendait à la Chambre des députés afin de discuter du nouveau gouvernement de Giulio Andreotti. C'est un commando des Brigades Rouges, une association terroriste qui luttait par les armes en faveur du communisme, qui est à l'origine de sa séquestration. Durant 55 jours, le pays est tenu en haleine jusqu'à ce qu'Aldo Moro soit abattu dans le coffre d'une voiture. Son corps est retrouvé via Caetani, à mi-chemin entre le siège de la Democrazia Cristiana et celui du Parti Communiste. À propos de cette affaire, nous vous conseillons le film de Marco Bellocchio, Buongiorno, notte.

1990

Rome compte 3 500 000 habitants et accueille la Coupe du monde de football.

2007

Découverte de la grotte sur le Palatin où Romulus et Rémus auraient été allaités par la louve.

2010

Inauguration du MAXXI, premier musée d’art contemporain dédié aux arts du XXIe siècle.

2011

La crise économique ainsi que les différents scandales dans lesquels il mouille (le fameux Rubygate) mènent Berlusconi, élu lors des législatives de 2008, à interrompre son mandat avant la fin, en 2011. Ensuite, l'Italie voit se succéder quatre présidents du Conseil : Mario Monti (2011), Enrico Letta (2012), Matteo Renzi (2014) et Paolo Gentiloni (2017).

2013

Jorge Mario Bergoglio devient le pape François.

Décembre 2014

Le scandale « Mafia Capitale » éclate, dévoilant la gestion corrompue de Rome sur plus de dix ans.

2016

Virginia Raggi est élue maire de Rome. Elle fait partie du Mouvement 5 étoiles, un parti novateur créé par Beppe Grillo, humoriste italien, en 2009. Les cinq étoiles du mouvement, ou les cinq priorités, sont : l'eau, l'environnement, le transport, la connectivité et le développement.

4 mars 2018

L'Italie est confrontée à un raz de marée politique. Une coalition inédite est formée entre les vainqueurs des élections  : le Mouvement 5 étoiles dirigé par Luigi di Maio et la Ligue conduite par Matteo Salvini sont contraints de s'associer.

2019

Le mandat de Virginia Raggi se poursuit, mais sa popularité est en baisse auprès des Romains. D'un point de vue national, l'Italie est toujours en proie à une forte crise économique. En 2018, son déficit a atteint 132,2 % du PIB, il s'agit du deuxième plus important après la Grèce dans la zone euro.

2020

Le 10 mars 2020, l’Italie est le premier pays européen à imposer un confinement strict sur tout son territoire afin de lutter contre la Covid-19.

2021

 

Depuis le 21 octobre 2021, Roberto Gualtieri (centre-gauche) est le maire de Rome. Ministre de l'Economie et des finances (2019-2021) durant le gouvernement Conte II, il accède à la mairie de Rome avec 60,15 % des voix au deuxième tour.

2022

 

Giorgia Meloni, présidente du parti d’extrême-droite Fratelli d’Italia, devient présidente du Conseil après que la coalition de centre droit remporte les élections parlementaires du 25 septembre 2022.

2025

Le 24 décembre 2024, l'ouverture de la Porte Sainte de la basilique Saint-Pierre a signé le début de l'année jubilaire. Cet événement de l'Église catholique qui a lieu tous les 25 ans offre aux pèlerins la possibilité d'obtenir l'indulgence plénière, soit l'absolution des péchés confessés. De nombreux travaux (sites touristiques, moyens de transport...) ont eu lieu dans toute la ville pour se préparer à cette année où plus de 30 millions de touristes sont attendus.

Top 10 : Personnages historiques

Les empereurs Romains

Cruels, valeureux ou ambitieux, certains empereurs ont marqué l'histoire de Rome. Parfois considérés comme des monarques au pouvoir absolu, voire des tyrans, il est important de connaître leur histoire étroitement liée à celle de la ville et de ses nombreux sites archéologiques. De l'excentrique Néron au pieux Constantin Ier, voici nos 10 empereurs préférés !

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Octave (de 27 av. J.-C. à 14)

Premier empereur romain, son règne de 41 ans fut le plus long de tous.

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Caligula (de 37 à 41)

Connu pour ses excès, sa cruauté et sa mégalomanie, Caligula est l'exemple parfait du tyran qui se considère égal aux dieux.

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Claude (41-54)

Bègue et boiteux, l'oncle de Caligula ne s'attendait pas à devenir empereur ! Il est le père de Britannicus et a adopté Néron.

Néron © Kraft74- Shutterstock.com.jpg

Néron (de 54 à 68)

Dernier empereur de la dynastie julio-claudienne, des soupçons pèsent sur Néron : aurait-il déclenché le grand incendie de Rome ?

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Vespasien (69-79)

Fondateur de la dynastie des Flaviens, il entreprend la construction du Colisée et réinstaure l'ordre suite au règne de Néron.

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Trajan (98-117)

Il est à l'origine de plusieurs monuments comme les thermes de Trajan, le forum de Trajan ou les marchés de Trajan : égocentrique ?

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Hadrien (117-138)

Grand esthète, il a notamment inspiré Marguerite Yourcenar. On visite, à Tivoli, les ruines de sa Villa Adriana.

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Marc-Aurèle (161-180)

Stoïcien, Marc-Aurèle était un esthète et un penseur. Il entretint la Pax Romana qui prit fin à sa mort.

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Dioclétien (284-305)

Dioclétien organise une tétrarchie. Il règne sur l’Orient et confie l’Occident à Maximin.

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Constantin Ier (310-337)

Rome n’est plus au centre de l’Empire. Constantin Ier fonde une nouvelle capitale : Constantinople.

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