BANANA HOUSE & WELLNESS CENTRE
Hôtel niché au cœur du village de Shela, propose des chambres superbement aménagées avec terrasse privée
Que de bonnes ondes dans cette maison nichée au cœur du village de Shela, au calme et non loin de la mer, autour d'un jardin luxuriant et d'une petite piscine en forme de haricot. Un bel endroit qui propose 14 chambres superbement aménagées avec terrasse privée. Le staff est chaleureux et bienveillant. Une belle salle de yoga, ouverte sur le jardin, propose des cours d'une heure tous les jours, matin et soir. Le lieu est d'ailleurs réputé pour ses retraites de yoga.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur BANANA HOUSE & WELLNESS CENTRE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Les petits déjeuners sont bons, le reste des repas corrects.
Les serveurs sont tous très sympathiques mais j’ai trouvé la manager un peu désagréable dans sa communication - un sourire rendrait l’échange plus agréable.
La culture swahili se retrouve dans le style des bâtiments.
Notre chambre se trouvait au deuxième étage et disposait de trois fenêtres, chacune orientée dans une direction différente, ce qui facilite la circulation de l'air de l'océan et permet de se sentir calme et de sombrer dans un sommeil profond.
Le personnel était très aimable et serviable.
Le petit-déjeuner swahili est fortement recommandé.
J'y reviendrai certainement.
2) Nous avons oublié quelque chose à l'aéroport et nous avons donc dû revenir, ce pour quoi nous avons donné un bon pourboire aux personnes chargées du transfert. Mais par la suite, Banana House nous a facturé deux fois le service.
3) Le transfert en bateau était cher (par rapport aux prix pratiqués par d'autres prestataires dans la rue) et lent, au risque de rater l'avion.
4) Le transfert en bateau nous a laissé sur une plage boueuse et nous avons dû marcher pieds nus dans une rue pleine de crottes d'ânes. Ce n'est pas la meilleure expérience d'accueil ! D'autant plus qu'un quai n'était qu'à 50 mètres, et qu'une rue propre n'aurait nécessité qu'un détour de 10 mètres. Les gars voulaient juste marcher moins, ou peut-être se moquer des touristes.