AÉROPORT INTERNATIONAL
L'aéroport international de Ouagadougou est le plus usité. De petite taille et relativement bien organisé, il est desservi par les gros transporteurs. C’est donc par cet aéroport que la plupart des voyageurs arrivent au Burkina Faso par voie aérienne. Les vols internationaux (dont certains avec escale) relient la capitale burkinabè avec Paris (Orly et CDG), Marseille, Mulhouse, Toulouse, Lyon, Amsterdam, Bruxelles, Genève, Londres, Bamako, Cotonou, Lomé, Abidjan, Accra, Niamey, Dakar, Libreville et Casablanca. Depuis la piste d’atterrissage, on accède au terminal unique par un bus qui ne parcourt qu’une centaine de mètres ! Prévoir environ 30 minutes pour les formalités d'entrée sur le territoire ; astuce pour ne pas perdre de temps : prévoir un stylo afin de remplir les documents ainsi que les coordonnées de votre hôte au Faso. A la douane, il est indispensable de présenter son passeport et son carnet de vaccination contre la fièvre jaune. A noter qu'il est très important de conserver les coupons bagages car une vérification stricte est effectuée avant de quitter la zone. A la sortie de l’aéroport, le voyageur indépendant pourra aisément trouver un taxi (comptez 3 000 FCFA pour une course en ville, en journée). Des taximen et porteurs proposeront spontanément leur service. Il faut savoir qu’un taxi à l’aéroport coûte plus cher qu’un taxi hors de son enceinte. Un certain nombre de vendeurs ou « guides » se présenteront au voyageur indépendant. Ils ne sont généralement pas oppressants, mais n’offrent pas les meilleurs services. S’ils deviennent insistants, garder le sourire en s’éloignant d’un pas décidé. En voiture, on est à une dizaine de minutes de la plupart des hébergements de la capitale.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur AÉROPORT INTERNATIONAL
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Plus de tapis de livraison de bagage, plus de salle d'embarquement; c'est assez folklorique mais on arrive quand même à décoller; c'est le principal
mais je crois qu il y en a encore pour un an