2024
Y aller et contacter
Musée spectaculaire à Ypres avec des objets retrouvés sur les champs de batailles, rendant hommage aux soldats tombés à la guerre
Ce musée spectaculaire rend hommage aux soldats tombés sur le front des tranchées de la Première Guerre mondiale en Flandre-Occidentale, une guerre dont les conséquences dans la région ont été particulièrement dévastatrices. Les bombardements, le quotidien des soldats, les grands événements sont expliqués à travers des témoignages vidéo, la mise en scène d’objets retrouvés sur les champs de bataille. Le tout plonge véritablement le visiteur dans le quotidien des soldats..
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Informations complémentaires
Informations et horaires sur IN FLANDERS FIELDS MUSEUM
Ouvert du 1/04 au 30/09 : 10h-18h (17h le w-e). Du 1/10 au 15/11 : 10h-17h. Du 16/11 au 31/03 : mardi-dimanche 10h-17h. Adulte : 12 €. Beffroi +2 €. Audioguide : 2 €. Accessible aux fauteuils roulants, accessible aux personnes à mobilité réduite.
Message du propriétaire
Le Musée “In Flanders Fields” présente le récit historique de la Première Guerre mondiale. La scénographie est centrée sur l’expérience humaine. Dans ce cadre, le parcours du musée permet aussi de visiter le beffroi, au sommet duquel vous pouvez admirer la ville et les champs de bataille environnants. Des centaines d’objets et images authentiques sont présentés d’une manière innovante, axée sur le vécu. Des personnages ayant réellement existé et des présentations interactives confrontent le visiteur contemporain à des semblables ayant connu la guerre, il y a un siècle. Le musée adopte ainsi de nombreux points de vue : l’aspect général et historico-militaire est important, mais également la relation avec le présent, le passé, en tant qu’être humain et avec la société, dans tous les pays concernés.
Nos offres et services
Pieper et Yperman - Témoins de guerre
Exposition temporaire - 28 janvier 2025 - 01 juin 2025
Hans Pieper travaillait comme ingénieur-architecte pour la ville de Cologne, en Allemagne, lorsque la guerre a éclaté. Il a été envoyé sur la côte belge en tant qu'officier de la Festungsbaukompagnie/Köln. À partir de 1915, il est affecté comme lieutenant au Marine Pionier Bataljon du Marine-Korps Flandern. Il était notamment chargé de construire des batteries côtières et des bunkers. Son poste l'a conduit dans de nombreux endroits, qu'il a consignés sur papier. Pieper a peint et dessiné des paysages et des bâtiments en ruine avec un grand souci du détail.
L'artiste verrier brugeois Jules Yperman, incorporé à l'âge de 20 ans dans le 11ᵉ régiment de ligne de l'armée belge, s'est retrouvé sur le front de l'Yser. Il a consigné ses expériences dans un journal et les a illustrées de petits croquis, de dessins à la plume et d'aquarelles. Ce journal illustré a ensuite été complété par des récits individuels, des carnets de chants et un album rempli d'aquarelles.
Tous deux sont restés dans la région côtière de la Flandre occidentale pendant presque toute la durée de la guerre. Leurs œuvres offrent une perspective unique sur la façon dont ils ont vécu la guerre et leur environnement
Déplacés - les réfugiés belges de la Première Guerre mondiale
Exposition temporaire - 02 octobre 2025 - 14 juin 2026
En 1914, 1,5 million de Belges – soit un quart de la population de l’époque – ont fui les violences de la guerre. On estime que 600 000 d’entre eux ont passé la totalité de la guerre à l’étranger, principalement en France, Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. En outre, des milliers d’autres ont été déplacés de force : ils ont été évacués par les militaires des deux côtés du front, car leur lieu de résidence était devenu trop dangereux en raison de l’évolution du conflit. Beaucoup sont ainsi devenus des « réfugiés dans leur propre pays ». À la fin de la guerre, un retour difficile les attendait, parfois retardé de plusieurs années. Certains ne sont jamais revenus, ne voyant plus d’avenir dans leur pays.
Vingt ans après l’exposition « Fuir la Grande Guerre » (2004), le musée consacrera à nouveau une exposition à ce thème encore largement méconnu des réfugiés belges de 1914-1918. Au cours des deux dernières décennies, d’innombrables récits personnels ont été partagés avec le musée, la collection s’est enrichie d’objets et de pièces documentant cet exode, et de nouvelles recherches ont été menées. Le musée In Flanders Fields souhaite présenter ces témoignages dans une nouvelle exposition de haut niveau, à l'intérieur et à l'extérieur des murs des Halles aux draps, en mettant l'accent sur les histoires personnelles et sur la manière dont les générations suivantes les ont traitées.
L'exposition est actuellement en pleine préparation. Vous avez une histoire de réfugiés dans votre famille ? Prenez contact avec l'équipe du musée.
Avis des membres sur IN FLANDERS FIELDS MUSEUM
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
There is a showcase that holds piles of bullet heads, casings and even belt buckles that were recovered from just one field that you realise the enormity of it all.
See for yourself, I could not even take a photo of any displays. To me it would be a mockery.
Questions fréquentes :
I spent about two hours at the museum as my time was limited, but it would be wise to allow 3 to 4 hours to view everything properly.