Que voir, que faire en Égypte ?
Les 10 bonnes raisons d'aller en Égypte
Les montagnes du Sinaï
S'offrir de superbes randonnées sur quelques-unes des montagnes les plus sacrées du monde.
Une expérience sous-marine unique
Muni d’un masque et d’un tuba, un univers surprenant vous attend.
Une population accueillante
D’un naturel tolérant, les Egyptiens perpétuent une culture de l’accueil ancestrale.
Des Hommes et des Dieux
Aller sur les traces de personnages dont les noms résonnent partout.
Le Nil à bord d’une Dahabiya
Laissez-vous transporter par les lumières hypnotisantes des soleils couchants.
Voyager dans le temps
Se promener dans les villes, c’est traverser les civilisations qui ont marqué l’Histoire.
Voir une des merveilles du monde
L’esprit des âmes qui les habitent ne laissera personne indifférent. Les pyramides fascinent.
Goûter aux saveurs de l’Orient
Cuisines épicées, cafés relevés et effluves parfumés : venez vivre une expérience unique.
Au rythme des danses orientales
Au son des musiques, le spectateur se noie dans une esthétique passionnée et enivrante.
À la rencontre de cultures diverses
Qu’ils soient Nubiens ou Bédouins, le pays n’a rien à envier de ses richesses culturelles.
Que visiter en Égypte ?
Bon à savoir pour visiter l'Égypte
Horaires
La plupart des sites touristiques ouvrent entre 9h et 16h de façon continue, parfois ils ouvrent plus tôt vers 7h du matin et ferment un peu plus tard mais rarement après 18h. Certains ont des options nocturnes.
A réserver
Cela dépend des sites et des régions, certains ne sont accessibles qu’avec réservation, d’autres pas. Renseignez-vous au préalable car il y a des lieux qu’on ne peut visiter que sur rendez-vous.
Notez que sur certains sites de Haute-Egypte (autour d'Assouan notamment), on ne peut plus payer l'entrée des sites touristiques en liquide, mais simplement par carte bancaire.
Budget / Bons plans
L’Egypte mise beaucoup sur son tourisme culturel, et si l’on peut manger et se loger sans se ruiner, il faudra prévoir un budget « visites ». Comptez entre 60 et 400 LE pour accéder aux sites majeurs. Certains jours sont à éviter pour programmer ses visites, notamment les jours fériés tels que la fête de fin de ramadan, l’Aïd el-Kebir, le Cham al-Nessim, le 6 octobre. Les vendredis sont aussi à proscrire si vous avez envie de visiter certains sites comme les pyramides de Guiza ou de Saqqarah, le Musée égyptien, les corniches du Nil. Les habitants profitent de ces jours pour se rendre en masse sur ces sites et lieux publics et vous ne les apprécierez pas pleinement.
Les tarifs d'entrée des sites touristiques partagés dans ce guide sont fortement susceptibles d'évoluer, notamment en raison de l'inflation, particulièrement importante en Egypte.
Les événements
L'Egypte n'est pas un pays de festivals ou de manifestations récurrentes, sinon quelques foires et biennales. Le festival international du film, en fin d'année, permet néanmoins de voir les nouveautés égyptiennes et de croiser quelques acteurs. Bien entendu, les fêtes religieuses sont importantes, et notamment le mois du ramadan, durant lequel les nuits sont extrêmement joyeuses et où tous les centres culturels, l'opéra, les maisons restaurées du Caire islamique accueillent de nombreux concerts. Il vaut mieux alors se munir d'un hebdomadaire en français ou en anglais afin de faire son choix.
Visites guidées
Elles sont conseillées voire nécessaires pour certaines régions. Conseillées pour en apprendre davantage sur les sites et, accessoirement, pour décourager les nombreux rabatteurs ! Nécessaires et notamment dans certaines parties du désert accessibles qu’en présence d’un guide. Pour trouver un guide, vous pouvez vous fier à l’Egyptian Travel Agents Association qui recense les principales agences touristiques égyptiennes, au total plus de 2 500 à travers tout le pays. Son site Internet, https://www.etaa-egypt.org, dispose des noms et coordonnées des agences validées par l'association : c'est un gage de confiance si vous organisez votre voyage par vous-même. Homologuée par le ministère du Tourisme d'Egypte, l'EETA ou ETTA est certainement la plus avertie quant à la législation et aux tarifs en cours.
Les attrape-touristes
Ou l’impression que cela donne alors qu'ici le bakchich est plus qu’un pourboire, c’est plutôt une économie informelle dans un pays où les salaires sont très faibles. La crise politique et économique a amplement développé la pauvreté, et le bakchich est malheureusement devenu plus une nécessité pour tous qu'un jeu pour certains. C’est aussi une autre façon de « pratiquer » l’aumône en donnant un stylo, un bonbon, un petit billet à quelqu’un qui n’a que ses yeux à offrir et sa main à tendre.