Les meilleurs bars et cafés en Bosnie-Herzégovine
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Informations pratiques : Faire une pause en Bosnie-Herzégovine
Horaires
La plupart des cafés et bars ferment assez tôt, entre 22h et minuit pour la plupart. Mais la vie nocturne se poursuit plus tard à Mostar, à Banja Luka et, surtout, à Sarajevo.
Budget / Bons plans
Comptez entre 1,50 et 2,50 € pour une pinte de bière locale, aux alentours de 3 € pour une petite bouteille de rakija, environ 2 € pour une boisson gazeuse sans alcool et un peu plus de 1 € pour un café bosnien. Quelques bars et pubs proposent des formules happy hour dans les grandes villes.
A partir de quel âge
La législation interdit la vente d’alcool aux mineurs jusqu’à 18 ans. Pour les adultes, on déconseille l’état d’ébriété sur la voie publique : c’est très mal vu, surtout aux alentours d’une mosquée.
C’est très local
La rakija est l’eau-de-vie traditionnelle de nombreux pays des Balkans et d’Europe centrale (environ 50 degrés d’alcool). La meilleure est celle produite artisanalement par certains bars et restaurants ainsi que par des particuliers. Elle est obtenue par distillation de fruits. La šljivovica à base de prune ou de quetsche est la plus réputée. La Bosnie-Herzégovine est aussi un producteur de vin, essentiellement en Herzégovine, mais celui servi dans les bars n’est en général pas très intéressant. Les Bosniens apprécient davantage la bière. On compte cinq brasseries industrielles à Sarajevo, à Banja Luka, à Tuzla, à Bihać et à Mostar ainsi qu’une cinquantaine de microbrasseries artisanales à travers le pays. Enfin, la mode actuelle est au narguilé (plein de bars à chicha à Mostar et à Sarajevo).
Fumeurs
Encore plus que dans les restaurants et les hôtels, la fumée de cigarette est une nuisance dans les bars, pubs et cafés. À moins que cela ne change avec la nouvelle loi antitabac passée en 2022.
Les attrape-touristes
Pas grand-chose. Mais on signale quand même une arnaque à la carte bancaire dans un pub très fréquenté par les touristes dans le centre de Sarajevo, près du pont Latin : sous prétexte d’un problème de lecture du terminal, le personnel passe plusieurs fois la carte, entraînant plusieurs débits successifs, mais un seul ticket est remis au client.