De l’aéroport au centre-ville en Grèce continentale
Pour arriver en Grèce continentale depuis un pays francophone, les trois principaux aéroports sont ceux d'Athènes, de Thessalonique (Macédoine) et de Kalamata (Péloponnèse). Ceux-ci disposent de liaisons toute l'année avec d'autres aéroports en Grèce et à l'étranger.
Aéroport d'Athènes (25 ou 39 km à l'est du centre-ville) : liaisons toute l'année avec Paris-Roissy, Nice, Bruxelles-National, Bruxelles-Charleroi, Genève, Zurich et Luxembourg, en saison avec Paris-Orly, Lyon, Marseille, Lille, Bordeaux, Nantes, Toulouse, Strasbourg, Montpellier, Bâle-Mulhouse, Montréal et Toronto, forfait taxi 40-55 € (57-72 € pour Le Pirée), navettes en bus (X95 pour la place Syntagma, X96 pour Le Pirée…), métro (ligne 3 pour la place Syntagma, Le Pirée…), train régional (ligne A1 pour la gare athénienne de Larissa, la station de Doukissis Plakentias avec correspondances en métro, Le Pirée…).
Aéroport de Thessalonique (17 km au sud du centre-ville) : liaisons toute l'année avec Paris-Beauvais, Bruxelles-Charleroi, Bruxelles-National et Zurich, en saison avec Paris-Roissy, Bâle-Mulhouse, Genève, forfait taxi 25-35 €, navettes en bus (nº 1X ou 1N), loueurs d'autos sur place.
Aéroport de Kalamata (10 km au nord-ouest du centre-ville) : liaisons saisonnières avec Paris-Roissy, Paris-Orly, Lille, Lyon, Nantes et Genève, forfait taxi 15-25 €, navettes en bus, loueurs d'autos sur place.
Arrivée en train en Grèce continentale
La Grèce ne dispose plus de liaisons internationales en train.
Arrivée en bateau en Grèce continentale
Ports grecs. Les deux principaux ports grecs reliés avec l'Italie sont Patras, dans le Péloponnèse, et Igoumenitsa, dans l'Épire.
Ports italiens. En Italie, les trois principaux ports pour la Grèce sont Brindisi (à près de 1 300 km du tunnel du Mont-Blanc), Bari (près de 1 200 km) et Ancône (un peu plus de 700 km). Autres départs moins fréquents des ports de Venise, Ravenne et Trieste.
Durées des traversées. De Brindisi : 7h-8h de traversée avec Igoumenitsa, 16h-18h avec Patras. De Bari : 9h-12h avec Igoumenitsa, 16h-18h avec Patras. D'Ancône : 16h-22h avec Igoumenitsa, 21h-25h avec Patras.
Principales compagnies. Grimaldi Lines (grimaldi-lines.com/fr), Minoan Lines (minoan.gr), Ventouris Ferries (ventourisferries.com/en), Superfast Ferries (superfast.com/fr-fr) et Anek Superfast (anekitalia.com/fr).
Tarifs. Comptez par exemple entre 170 et 460 € pour deux en cabine avec une voiture sur la ligne Igoumenitsa-Ancône. Les tarifs varient aussi en fonction de la saison, du niveau de confort (sièges classiques, sièges convertibles, cabines), du type de véhicule, du prix du carburant, etc.
Transports en commun en Grèce continentale
Liaisons internationales. La Grèce dispose de liaisons en autocar avec les pays des Balkans, en particulier avec l'Albanie, la Macédoine du Nord, la Bulgarie et la Turquie. Ces liaisons sont assurées par plusieurs compagnies grecques et étrangères. Les gares routières de Thessalonique sont celles qui disposent des liaisons les plus nombreuses avec l'étranger. Nous détaillons cela dans les pages sur Thessalonique.
Liaisons nationales en autocar. Le réseau coopératif et privé de bus interurbains KTEL (Κοινό Ταμείο Εισπράξεων Λεωφορείων/Kino Tamio Ispraxeon Leoforion) assure l'essentiel des transports en commun à travers la Grèce. Les tarifs sont raisonnables (46,70 € par exemple pour un trajet Thessalonique-Athènes de 6h) et le réseau est dense (près de 4 200 lignes), même si tous les villages ne sont pas desservis. Il fonctionne avec des véhicules souvent modernes appartenant aux chauffeurs. Le site Internet général (ktelbus.com/en) renvoie vers les sites des 62 antennes régionales. Selon les cas, les billets peuvent être achetés en ligne, dans les gares routières ou auprès des chauffeurs. Au fil des chapitres, nous vous indiquons les principales gares routières et leurs liaisons.
Liaisons nationales en train. Les deux principales lignes ferroviaires sont celles entre Athènes et Thessalonique et entre Athènes et Corinthe. Mais de nombreuses lignes ont fermé au cours des années 1990-2010. Depuis 2017, le réseau national appartient au groupe semi-public italien Ferrovie dello Stato Italiane. Autrefois connue sous le nom d'OSE (Οργανισμός Σιδηροδρόμων Ελλάδος/Organismos Sidirodromon Ellados), la compagnie nationale est désormais appelée Hellenic Train (hellenictrain.gr/en). Son site Internet a été modernisé en 2024. Il est désormais possible de visualiser les trajets possibles et d'acheter un billet en ligne (43 € par exemple pour un trajet Thessalonique-Athènes de 4h50).
Réseaux urbains. Toutes les grandes villes disposent de compagnies de transport urbain. Il s'agit essentiellement de bus, souvent assez anciens mais peu chers. Athènes et Thessalonique sont les exceptions, puisqu'elles disposent notamment du métro. La société OASA (oasa.gr/en) gère les transports en commun de l'agglomération d'Athènes : métro, tramway, bus et trolley-bus. Dans l'agglomération de Thessalonique, la société OSATH (oasth.gr/en) gère les bus, tandis qu'Elliniko Metro (emetro.gr) s'occupe de l'unique ligne de métro ouverte en 2024.
Vélo, trottinette & co en Grèce continentale
Vélo. La Grèce se prête peu à la pratique du vélo : de nombreux automobilistes ont une conduite dangereuse, les routes peuvent être en mauvais état et les centres des villes disposent rarement de voies cyclables. D'ailleurs, les systèmes de vélos en libre-service restent peu développés en zone urbaine. On constate toutefois une hausse du nombre de cyclistes. Pour des questions de sécurité, on déconseille fortement de faire du vélo seul à Athènes : mieux vaut passer par une agence proposant une visite guidée en groupe avec un vélo classique ou électrique. À Thessalonique, c'est plus sympa : le bord de mer est bien aménagé pour le vélo (la trottinette, les patins à roulettes…). Partout en Grèce, des excursions hors de la ville sont faisables. Mais on recommande un équipement de sécurité complet (casque, gilet et dispositifs rétro-réfléchissants, feux de position) et d'éviter absolument de rouler de nuit. Dans tout le pays, des agences proposent des excursions avec des guides connaissant bien les itinéraires à privilégier ou à éviter.
Trottinette électrique. Après avoir presque disparu des centres-villes durant la crise sanitaire du coronavirus, les systèmes de trottinettes électriques en libre-service reviennent peu à peu à Athènes et à Thessalonique depuis 2024. Mais il n'existe toujours pas de législation encadrant l'usage de la trottinette électrique, sauf deux obligations en matière de sécurité : port du casque (non fourni par les sociétés) et limitation de la vitesse à 25 km/h. Comme pour le vélo, on recommande là aussi la plus grande prudence.
Cycles à moteur. Vous pourrez louer des motos, quads et scooters. N'imitiez pas les locaux et portez le casque… sur la tête ! Le danger peut venir de partout : nid-de-poule dans la chaussée, éblouissement par le soleil, mauvais conducteur, coup de vent, etc. Un accident est vite arrivé et sans casque, l'assurance ne vous prendra pas en charge. Trop peu de loueurs insistent sur le port du casque. Demandez donc expressément d'en avoir un. En Grèce, pour la conduite d'un cyclomoteur de catégorie AM (moins de 50 cm3), il faut le permis de conduire B depuis six ans et avoir atteint l'âge de 27 ans. Pour la catégorie A1 (jusqu'à 125 cm³), il faut en plus une formation « pertinente » de cinq heures.
Avec un chauffeur en Grèce continentale
Taxis. Il existe des taxis dans tout le pays, y compris dans certains villages et dans presque tous les sites touristiques. Les tarifs sont moins chers qu'en Europe occidentale, mais les chauffeurs parlent en général mal anglais. Dans les plus grandes villes, les véhicules affichent une couleur distincte : jaune à Athènes, bleu et blanc à Thessalonique, rouge foncé à Patras, vert foncé à Ioannina… Sinon, ils sont généralement de couleur grise. Tous sont équipés d'un taximètre et d'un dispositif extérieur lumineux portant la mention « TAXI » ou « ΤΑΞΙ ». Voici les tarifs officiels en 2024 pour Athènes et Thessalonique. Prise en charge : 1,80 €. Tarif minimum : 4 €. Tarifs au kilomètre : 0,90 € et 1,25 € hors ville. Tarif au kilomètre de nuit (0h-5h) : 1,25 €. Bagage : 0,39 €. Supplément port, aéroport et gares : 1,07 €. Réservation : 5,65 €. Des forfaits officiels sont appliqués pour les ports et aéroports, par exemple 40 € entre l'aéroport d'Athènes et le centre d'Athènes (55 € de nuit).
Application. Sur votre smartphone, téléchargez l'application « Freenow » pour trouver un taxi libre dans votre périmètre. Cela fonctionne surtout à Athènes et à Thessalonique. Le surcoût est de 1,20 €.
Abus. Il est courant que des chauffeurs pratiquent des tarifs abusifs, notamment pour des trajets vers ou depuis les ports et aéroports. Pour déposer plainte, il faut contacter la police touristique : +30 21 09 20 07 30 à Athènes, +30 23 10 55 48 74 à Thessalonique, +30 26 10 69 50 73 à Patras, +30 26 65 02 96 46 à Igoumenitsa, +30 27 21 04 46 81 à Kalamata, +30 24 21 03 90 57 à Volos, +30 26 51 06 59 22 à Ioannina, +30 25 51 03 73 81 à Alexandroupoli… Le numéro local direct 1571 permet aussi de joindre la police touristique partout dans le pays avec un service en langues étrangères (parfois en français). À Athènes, la police de la route est la plus à même d'engager les poursuites (bureau central Th. Diligiannis 24-26, près du métro Metaxourgeio et du centre d'information de la police touristique, +30 21 05 23 01 11). Il faut au moins fournir le numéro d'immatriculation du véhicule et l'heure et l'emplacement du « délit », éventuellement le modèle du véhicule et le numéro de licence du chauffeur. Vous pouvez aussi signaler un chauffeur (sans plainte) auprès du syndicat des taxis SATA (+30 21 05 23 95 24, syndikatotaxi@gmail.com). Mais sachez qu'en général la menace d'une plainte suffit pour que le chauffeur applique le tarif légal.
VTC. En Grèce, il n'existe pas de service de voiture de transport avec chauffeur (VTC) type Uber.
Véhicule avec chauffeur. De nombreuses compagnies proposent des véhicules avec chauffeur pour des excursions sur une journée ou plus dans les principaux sites à proximité d'Athènes : cap Sounion, Delphes, Mycènes, les Météores, Corinthe et Épidaure. On citera notamment Chauffeur Greece (chauffeurgreece.com/fr) et Prestige Greece (prestigegreece.com). Ces deux compagnies disposent non seulement de voitures de luxe confortables, mais aussi de véhicules adaptés pour transporter des passagers en fauteuil roulant (rampe, systèmes de fixation…). La compagnie athénienne Amea Taxi (www.amea.taxi) est quant à elle uniquement spécialisée dans les transports et excursions touristiques pour personnes à mobilité réduite. Elle propose notamment une aide particulière pour monter ou descendre d'un train, d'un avion ou d'un bateau.
En voiture en Grèce continentale
Liberté… et grande prudence ! Malgré le bon réseau de bus KTEL, on recommande surtout de visiter la Grèce continentale en voiture. Cela pour pouvoir profiter des sites archéologiques, des plages ou des bons restaurants éloignés des centres urbains. Attention, toutefois, car la conduite « à la grecque » est déroutante, parfois très dangereuse : non-respect des limitations de vitesse et des passages piétons, feux rouges souvent grillés, oubli systématique du clignotant, doublement par la droite fréquent, mauvais état du parc automobile, véhicules lents roulant sur la voie d'arrêt d'urgence, parking en double file dans les villes… Le tout assorti d'un manque de contrôles de police. Bref, il faut être extrêmement vigilant dès que l'on prend la route. La Grèce affiche en effet le plus fort taux d'accidents de la route au sein de la zone de l'Union européenne et des pays associés : 149 morts par million d'habitants en 2023 contre 88 en France (taux proche de la moyenne européenne), 104 en Belgique, 99 au Luxembourg et 55 en Suisse.
Routes et autoroutes. La plupart des grands axes sont relativement en bon état avec des voies larges, une bonne signalétique, etc. Le pays dispose à présent d'un réseau autoroutier assez dense malgré le relief accidenté : A1 entre Athènes et Thessalonique, A2 (Egnatia Odos) dans toute la partie Nord (d'Igoumenitsa à Alexandroupoli via Thessalonique), A6 entre Corinthe et Kalamata, A8 entre Athènes et Patras (via Corinthe), E65 entre Athènes et les Météores… Le souci, ce sont les péages. Ils sont extrêmement nombreux et considérés comme trop chers par la plupart des habitants. Par exemple, pour parcourir les 500 km entre Athènes et Thessalonique, cela revient à environ 40 € avec une quinzaine de péages où il faut à chaque fois payer entre 0,70 et 3,90 € (carte bancaire ou liquide). Si bien que de nombreux tronçons sont presque vides, y compris en haute saison. Malgré le désagrément de devoir s'arrêter fréquemment aux péages et des tarifs comparables à ceux de la France, les autoroutes grecques sont donc peu fréquentées, faciles à parcourir et profitent souvent de beaux paysages. Elles sont gérées par huit compagnies privées qui proposent un badge télépéage (e-PASS) valable sur l'ensemble du réseau. On peut se le procurer auprès des différentes compagnies : Attiki Odos (aodos.gr), Moreas (moreas.com.gr), Nea Odos (neaodos.gr), Egnatia Odos (egnatia.eu), Olympia Odos (olympiaodos.gr), Aegean Motorway (aegeanmotorway.gr ou myeway.gr), Kentriki Odos (kentrikiodos.gr) et Gefyra (gefyra.gr). Les routes nationales sont elles aussi plutôt bien entretenues. L'inconvénient est ici que l'on se retrouve dans le flot des (mauvais) conducteurs locaux… Quant aux axes secondaires, ils sont d'une qualité très variable, d'autant qu'il s'agit souvent de routes de montagne sinueuses et étroites. Il faut les emprunter avec la plus grande prudence de nuit et en cas de précipitation.
Venir avec son propre véhicule. Peu de voyageurs ouest-européens viennent en Grèce avec leur propre véhicule. C'est une idée à envisager pour un séjour long. Plusieurs options sont possibles. La plus courante est le trajet en ferry entre les ports italiens (Bari, Ancône…) et ceux de Patras et d'Igoumenitsa (voir « En bateau » ci-avant). Dans ce cas, il faut prévoir au moins deux jours de trajet sans halte. Mais on peut aussi passer par les Balkans. Dans ce cas, deux grands itinéraires existent. Le plus rapide consiste à emprunter la « route européenne » E-75, une autoroute qui traverse le continent du nord au sud. Il faut récupérer celle-ci en Tchéquie, en Slovaquie, en Hongrie ou en Croatie. Cela représente un trajet d'environ 2 000 km entre Strasbourg et Thessalonique en passant par la Serbie et la Macédoine du Nord (prévoir 2-4 jours avec des haltes). Toujours par les Balkans, il est possible de longer la côte Adriatique par l'Italie, la Slovénie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro et l'Albanie. Dans ce cas, le trajet entre Lyon et Ioannina sera d'environ 2 100 km par des routes nationales correctes et peu de tronçons autoroutiers (prévoir 3-5 jours avec des haltes).
Louer un véhicule sur place. On trouve des loueurs de véhicules dans presque toutes les villes ainsi que dans les principaux ports et aéroports. Pour une citadine, comptez entre 30 et 80 € par jour selon la durée et la saison. Les flottes de véhicules sont dans l'ensemble assez modernes (ce qui est rarement le cas dans les îles) et bien entretenues. Les principales entreprises internationales de location (Europcar, Avis/Budget, Hertz/Thrifty, Sixt, Entreprise, Alamo…) sont bien implantées. Et l'on trouve aussi des entreprises grecques nationales comme Auto Union (autounion.gr), Avance (avance.gr), ACE Car Rental (acerentacar.gr), Ansa (ansa.gr) ou Drive Hellas (drive-hellas.com) ainsi que des entreprises locales. La demande est très forte en juillet-août et il convient de réserver à l'avance directement auprès des agences, sur les sites Internet des compagnies ou sur les sites des centrales de réservation.
Code de la route. Depuis 2003, le code de la route est commun à tous les pays de l'Union européenne. Il existe toutefois quelques particularités en Grèce. Celle à retenir absolument concerne les rond-points : les véhicules circulant sur les ronds-points doivent donner la priorité aux véhicules venant de la droite, sauf indication contraire des panneaux de signalisation. Pour le taux d'alcool maximum autorisé, c'est comme en France et au Luxembourg : 0,5 g/l (0,2 pour les jeunes conducteurs).
Véhicules GPL et électriques. Depuis 2024, des nouvelles règles s'appliquent pour le transport en bateau : les véhicules GPL doivent avoir au moins la moitié de leur réservoir vide pour embarquer ; les batteries des véhicules électriques et hybrides ne doivent pas dépasser 40 %. Ceci est valable pour tous les navires au sein de la Grèce et pour les liaisons avec l'Italie. Vous trouverez une liste des stations-services proposant du gaz de pétrole liquéfié (GPL) sur la page Web mylpg.eu/stations/greece et une liste des bornes de recharge de véhicules électriques sur les sites charging.gr, nrgincharge.gr et blinkcharging.com. Des bornes de recharge sont aussi disponibles dans certains hôtels, généralement haut de gamme.
Accessibilité en Grèce continentale
Le sort des personnes à mobilité réduite et des poussettes n’est malheureusement pas une priorité en Grèce, loin s'en faut. Il en résulte une accessibilité réduite, notamment dans tous les transports publics, les trains et les bus locaux. À Athènes, des accès ont toutefois le mérite d’exister enfin dans les stations de métro les plus récentes et certains sites touristiques importants comme l’Acropole. Côté mer, les ferries et autres bateaux ne sont pas toujours très accessibles non plus : sur les grands ferries, l’accès est théoriquement assuré pour tous, mais dans la pratique, c’est une autre histoire (les escalators mis en route pour monter dans le bateau sont ainsi désactivés quand il s’agit de débarquer…). Des ascenseurs sont prévus, mais ils ne desservent pas nécessairement tous les étages des ferries.
Les attrape-touristes en Grèce continentale
À part un classique universel (en taxi, surveillez l'allumage du compteur ou vérifiez le forfait pour l'aéroport ou le port), pas grand-chose à signaler.