Barnabé, lieu mythique racheté par la mairie de Boulazac-Isle-Manoire, a été confié en gérance à trois entrepreneurs périgourdins. Construit en 1935 par Léopold Foussard, l'ensemble à l'architecture Art déco classée patrimoine du XXe siècle a été rénové dans le même esprit, le confort en plus. Les principales structures d'époque sont conservées en intérieur et extérieur, et surtout la terrasse a été superbement réaménagée en surplomb de l'Isle, idéale quand des musiciens sont invités à jouer (et l'hiver dans la verrière). Ce qui coinçait, depuis la réouverture à l'été 2017, c'était la partie restauration... Une nouvelle brigade s'est constituée autour du chef Yohan Fargeot, passé par La table du Pouyaud. La formule brasserie demeure le midi, en soirée c'est un esprit « bistronomie » plus affirmé. Les fidèles devraient revenir. D'autant que le site est maintenant ouvert à l'année. Le soir, on peut aussi s'installer autour du bar à tapas, nouveauté également. Et les animations se succèdent : un DJ s'installe le jeudi soir, les week-ends sont plus rock et jazz. Le dimanche après-midi, l'ambiance est plus résolument salon de thé, autour d'une sélection de pâtisseries.
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Avis des membres sur GUINGUETTE DE BARNABÉ
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Première fois, nous y allons a 4, nous sommes restés de 19h15 à 23h30 et nous n'avons pas pu manger... on nous a annoncé que les cuisines étaient fermées alors que nous demandions la carte depuis 1h30, le serveur nous dit que "le prix que nous payons est raisonnable" (en meme temps 22 euros par personnes pour boire un verre....) et enfin, le serveur nous explique très sérieusement que dans la tapenade il n'y a pas de poisson, simplement du thon.......... Deuxième tentative hier soir, nous réservons une table pour 11 pour un enterrement de vie de jeune fille. Nous telephonons juste avant d'arriver pour prévenir que nous aurons 5 minutes de retard, nous arrivons à 19h35 pour une réservation à 19h30, nous arrivons et faisons la queue pour qu'on nous dise que notre table a été donnée. Pour couronner le tout, le patron n'en a rien a faire et ne compte pas faire d'efforts pour trouver une solution. Comme il est extrêmement courageux, il a envoyé une jeune serveuse pour nous annoncer les bonnes nouvelles.
Cet établissement ne mérite pas d'exister! C'est bien la peine de pleurer parce que le covid a fait du mal, encore faut-il savoir travailler!!