FROMENT LEROYER
Cette maison respectable dont raffole les riverains chics de la rive droite propose le meilleur de la chaussure pour enfants : bateaux Armani ou Dockside, ballerines Camper, mocassins Swamp, baskets Lacoste… Vous trouverez à coup sûr la paire avec le petit "je-ne-sais-quoi" qui fait toute la différence. Les prix sont à la hauteur de la qualité des produits proposés. L'accueil est très courtois. N'hésitez pas à questionner les vendeuses et à profiter de leur expérience. Du chic que l'on retrouve dans les 6e, 8e et 16e arrondissements. Que du beau monde.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur FROMENT LEROYER
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Il m'est arrivé exactement la même histoire avec une fermeture éclair de boots à 100 euros.
J'ai du revenir 3 fois en boutique pour obtenir la réponse. M Froment ne m'a même pas proposé de la réparer car c'était trop cher.
Il m'a juste été proposé de choisir une nouvelle paire de chaussures car les boots étaient en rupture de stock.
Elles étaient toutes plus chères et beaucoup moins belles. Je me suis bien fait avoir.
Ma fille a été très déçue et moi aussi ça faisait 40 ans que ma famille allait à cette boutique. A raison de 3 paires de chaussures par an et de 13 cousins aucun geste commercial! Tant pis pour eux.
Il faut savoir mettre le prix pour bien chausser nos enfants mais cela vaut largement le coup. J'ai tenté à plusieurs reprise de me rendre chez un de leur concurrent mais j'ai toujours ete déçue de la qualité.
De plus le magasin de l'avenue de la bourdonnais à totalement été refait et la vendeuse est très souriante, professionnelle et sait y faire avec les enfants.
En bref, je recommande.
J'y ai acheté une adorable paire de chaussures pour ma fille, faite en Europe, et que j'espèrais de bonne qualité (à 75€ tout de même). Achat le Lundi, la semelle se décolle le Mercredi... Bon, retour au magasin, où la marchante nous demande de lui rendre la paire pour qu'elles soient montrées à Monsieur Froment. Une mauvaise paire, ça arrive, même aux bonnes marques. Retour le Samedi matin, après un coup de fil, où l'on nous rend la même paire, recollée. Le travail est grossier, je le fais remarquer à la vendeuse, poliment. Cette dernière m'indique qu'elle ne peut rien pour moi, mais que je suis libre d'appeler M. Froment au numéro indiqué au bas de la carte. J'insiste, pointant la réparation, très inesthétique, sur des chaussures littéralement neuves, et lui demande si elle trouve cela acceptable. Nouveau refus d'intervenir, puis – aucun client dans la boutique – elle me répond, plus brutalement cette fois-ci que la gestion des "problèmes" ce n'est pas le sien, de problème, "qu'elle ne fait que les vendre, ces chaussures". Et puis quand même, "on les a réparées vos chaussures, non?!". Pas son problème, donc, et je dois m'estimer heureux qu'ils aient réparé une paire de chaussures vieille de 2 jours. Je pars donc, ayant étrangement l'impression de m'être fait engueuler pour avoir fait remarquer que, tout de même, des chaussures à 75€ n'ont pas une date limite de péremption fixée 2 jours après l'achat. Enfin, je me rends à l'évidence, c'est par le "service clients" que j'obtiendrais une explication et un "geste client", comme on dit... Je remets tout de même les chaussures à ma fille, et nous partons au parc à côté. Sur le chemin, après 300m, ça ne s'invente pas, la réparation lâche. Je re-passe au magasin, heureusement à proximité, et la vendeuse appelle M. Froment, devant moi. Qui m'explique que tout cela est un processus et que j'obtiendrai une solution qui me conviendra. Je laisse les chaussures, et je pars du magasin. Nous ne savons toujours pas quelle sera la "solution", pas de réponse de ce côté là.
En résumé, une paire de chaussures pourries dans une production, ça arrive. En général, on donne une paire neuve au client, et l'affaire est oubliée. Chez Froment-Leroyer, oubliez tout ça. On vous rend des chaussures réparées n'importe comment, et on vous engueule en prime pour oser le faire remarquer.
Ah, pour finir, le coup de grâce : la vendeuse a été assez bonne pour me faire remarquer qu'elle en a marre, elle, de se faire engueuler par des clients mécontents quand les chaussures lâchent. Ah bon, parce que des bérézina comme ça, ça vous arrive souvent ?
Je ne suis pas retournée en informer la boutique par manque de temps.
Ma fille a racheté d'autres chaussures, et j'ai jeté ma carte de fidélité.