Point de rendez-vous pour les Uzétiens et passage obligé pour les touristes, la place aux Herbes est un emplacement envié et l'on peut dire que Samy Alary, le gérant de l’Oustal (ex Napoléon sur le Victor-Hugo à Nîmes), a eu du flair quand il a fait l’acquisition des deux garages, transformés en bar puis en restaurant. Sa terrasse profite de l’animation permanente de la place, jusqu’à 23h voire minuit l'été. En journée, les tables planquées sous les arcades garantissent la fraîcheur. Alors, forcément, en cuisine ça dépote. Et cette adresse fort fréquentée offre parfois un accueil disons... expéditif. Les repas sont rapidement servis afin de satisfaire le client mais aussi pour assurer un second service. Heureusement, hors saison, tout est moins mécanique et, même si, les jours de marché, les passages sont nombreux, on prend plus le temps. Les plats du terroir sont copieux : seiches à la plancha, magret de canard au miel, gratin de brandade aux pousses d’épinard, andouillette sauce moutarde à l’ancienne, agneau au thym... une bonne cave à vin. On retrouve le sourire.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur CAFE DE L'OUSTAL
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
1/ Acte 1 : Nous étions installés à une table depuis 20 minutes à attendre après plusieurs tentatives que l’on vienne prendre notre commande. Pour attirer l’attention du personnel nous avons fait des grands signes de la main. Ce sont ces signes mal interprétés qui ont déclenché l’agression ! Un serveur (ou le patron ?) a cru que nous avions « tapé » dans les mains pour l’interpeller et a considéré que nous lui avions manqué de respect (un comble face à ce qui va suivre !!!)
2/ Acte 2 : Ce serveur décide enfin de s’approcher de nous, mais là, stupeur, ce n’est pas pour prendre notre commande, mais pour nous invectiver et finalement nous « virer » : Il répétait en boucle que nous avions « tapé » dans nos mains, qu’on ne devait pas lui parler comme ça, qu’il avait passé l’âge de se faire dire ce qu’il avait à faire… Finalement, il nous renvoie très agressif chez Mac Do, nous ordonne de partir et de ne jamais revenir.
3/ Acte 3 : Face à cette agressivité croissante, nous nous sommes levés pour partir, mais il nous a suivi en continuant de plus belle à nous insulter. Il cherchait visiblement à nous provoquer, violant notre espace personnel et passant des insultes aux injures répétées : Alors, qu’est-ce que tu vas faire ? Espèce de …….... Tu vas faire marcher tes petites c....... ? ...
Nous n’avons RIEN COMPRIS à ce flot d’injures, à ce déchaînement totalement gratuit d’agressivité.
Sans répondre à ses provocations, nous lui avons tourné le dos pendant qu’il continuait à nous injurier.
Nous sommes restés sereins en apparence, mais très perturbés en réalité, très choqués, avec un réel sentiment d’injustice, d’impuissance et même de DANGER face à un individu qui ne semblait plus capable de se contrôler.
Car il n’avait aucune retenue malgré la foule de témoins : Inconscience de la gravité des faits ? Assurance de son bon droit d’injurier qui que ce soit ? Assurance de son impunité face à ceux qu’il pensait être des touristes de passage ? Dommage pour lui, issus de familles originaires de la région, nous allons lui faire une publicité de choix !!!
Encore des « attrape touristes » plats décevants sur la carte gratin dauphinois du coup c’est une purée à moitié faite un petit morceau de canard notre fils un menu enfant à 12€ un simple steak et normalement des frites qui se sont transformés en potatoes?
Un simple wc pour la clientèle le sèche main ne fonctionne pas en période de Covid pas de serviettes…
Et une note salée vraiment a éviter!