CULTURE CONTACT

Bonjour, je reviens tout juste (hier) d'un séjour de 2 semaines au Pérou avec Culture contact et je dois dire que le mot EXTRAORDINAIRE trouve ici tout sons sens! La vie au sein d'une famille locale à Yucay et dans les communautés du Lac Titicaca ont nourris des moments inoubliables et forts en émotions. Aucune fausse note. Au-delà de la beauté époustouflante des sites péruviens, l'humain est au centre de ce périple (y compris dans le groupe de visiteurs - 6 max). L'encadrement de très haute qualité en la personne d'Erick et de Walther, guides francophones locaux, et les conditions de vie simples mais très correctes ont participé à transformer mon premier voyage solidaire en une expérience riche et inoubliable. J'ai conscience d'être encore sous le coup de l'émotion en écrivant ces lignes, dans quelques jours, sans doute, mon témoignage aurait été plus "concret" mais, pour l'heure, je ne retiens que la valeur des échanges. Juste un mot supplémentaire concernant l'association. Culture Contact est sérieuse et impliquée dans des projets locaux tout en laissant aux communautés le soin de s'organiser. Alexandre, notre contact en France, répond à toute les questions précisément et explique clairement en amont les conditions de ce voyage en organisant, notamment, une conférence téléphonique en présence de tous les participants. Et, si vous souhaitez lui rendre visite à Gignac (Hérault), il se fera un plaisir de vous offrir un café! Un seul regret, ne pas avoir poussé l'aventure jusqu'en Amazonie! A vivre, absolument!

Association par le biais de laquelle nous sommes partis au Pérou en 2010. Un voyage inoubliable, parfaitement organisé, en petit groupe (6 personnes maxi) et avec des guides compétents et à l'écoute. Les tarifs ne sont pas plus cher qu'un tour opérator classique sauf que le voyage se veut solidaire avant tout, le contact avec les populations est favorisé et un pourcentage du prix du séjour contribue à différents projets sur place. Evidemment en contrepartis, on renonce à un hotêl 3 étoiles mais un confort minimum est maintenu.