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Avis SAINT-JOSEPH VILLAGE Guînes
Avis des membres sur SAINT-JOSEPH VILLAGE
3.2/5
5 avis
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Visité en septembre 2022
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
A fuir
Je vous déconseille fortement le village Saint Joseph situé au Marais de Guines !!
Rendez vous pris pour faire des photos de mariage, ils nous ont refusés l’accès car le cortège qui déposé la mariée était trop bruyant .
Nous insulter de « neuneu » , selon lui il n’est pas normal de faire du bruit lors d’un mariage.
Lâcher des mariés un jour comme celui ci est vraiment ignoble et irrespectueux !!!
Rendez vous pris pour faire des photos de mariage, ils nous ont refusés l’accès car le cortège qui déposé la mariée était trop bruyant .
Nous insulter de « neuneu » , selon lui il n’est pas normal de faire du bruit lors d’un mariage.
Lâcher des mariés un jour comme celui ci est vraiment ignoble et irrespectueux !!!
Visité en avril 2017
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
vrai retour en arrière dans cette reconstitution de village, les métiers d'antan, la chapelle,la grotte de Lourdes...magnifique; beaucoup d'émotion dans la visite; tout cela avec la conviction d'un homme Daniel Baclez qui y a mis toute sa passion.a ne pas manquer
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Visité en octobre 2016
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
"Je vous parle d'un temps, que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître"...
Une époque où il n'y avait pas de tablette ni smartphone.
Lorsqu'ils ressentaient le besoin de communiquer, les ouvriers se rendaient après une dure journée de labeur dans des estaminets. Un endroit où l'on discutait autour d'un verre et où parfois on servait à manger. Le cercle des amis était plus restreint que maintenant avec les réseaux sociaux, mais le gens se sentaient moins seul.
Lorsque que vos chaussures baillaient, votre premier réflexe n'était pas d'en commander d'autres chez Zalando, mais d'aller les faire réparer chez le cordonnier. D'ailleurs, il n'y avait pas d'obsolescence programmée, dans le respect des consommateurs et de l'environnement les objets étaient fabriqués pour durée.
Les centrales nucléaires ne menaçaient pas de nous exploser en pleine face, on se chauffait au charbon et l'on cuisinait de la nourriture sans OGM au feu du bois qui crépitait dans la cuisinière.
La télé n'avait pas envahi les chaumières et pendant les repas, les familles se parlaient. Chacun faisant son propre récit de la journée écoulée.
Lorsqu'il s'agissait de laver le linge, les ménagères se réunissaient autour du lavoir, frottaient les nippes souillées avec du savon de Marseille en colportant les ragots qui se murmuraient dans le village.
Les cloches des églises ne s'étaient pas encore tus. Elles annonçaient évidemment les heures mais aussi les dangers qui menaçaient (le Tocsin) ou encore un décès (le glas).
Aux aurores, il était toléré que le coq chanta. La campagne prospérait et n'était pas devenue les lieux de villégiature des bobos parisiens, anglais ou hollandais.
Avec ses constructions en bois, son moulin et ses échoppes d'antan, tous ces bâtiment entièrement construit de la main d'une famille de charpentier, le St-Joseph village vous renvoi à une période dans laquelle malgré les difficultés, il semblait faire bon vivre.
Une époque où il n'y avait pas de tablette ni smartphone.
Lorsqu'ils ressentaient le besoin de communiquer, les ouvriers se rendaient après une dure journée de labeur dans des estaminets. Un endroit où l'on discutait autour d'un verre et où parfois on servait à manger. Le cercle des amis était plus restreint que maintenant avec les réseaux sociaux, mais le gens se sentaient moins seul.
Lorsque que vos chaussures baillaient, votre premier réflexe n'était pas d'en commander d'autres chez Zalando, mais d'aller les faire réparer chez le cordonnier. D'ailleurs, il n'y avait pas d'obsolescence programmée, dans le respect des consommateurs et de l'environnement les objets étaient fabriqués pour durée.
Les centrales nucléaires ne menaçaient pas de nous exploser en pleine face, on se chauffait au charbon et l'on cuisinait de la nourriture sans OGM au feu du bois qui crépitait dans la cuisinière.
La télé n'avait pas envahi les chaumières et pendant les repas, les familles se parlaient. Chacun faisant son propre récit de la journée écoulée.
Lorsqu'il s'agissait de laver le linge, les ménagères se réunissaient autour du lavoir, frottaient les nippes souillées avec du savon de Marseille en colportant les ragots qui se murmuraient dans le village.
Les cloches des églises ne s'étaient pas encore tus. Elles annonçaient évidemment les heures mais aussi les dangers qui menaçaient (le Tocsin) ou encore un décès (le glas).
Aux aurores, il était toléré que le coq chanta. La campagne prospérait et n'était pas devenue les lieux de villégiature des bobos parisiens, anglais ou hollandais.
Avec ses constructions en bois, son moulin et ses échoppes d'antan, tous ces bâtiment entièrement construit de la main d'une famille de charpentier, le St-Joseph village vous renvoi à une période dans laquelle malgré les difficultés, il semblait faire bon vivre.
Visité en avril 2016
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Je confirme . Ce village est époustouflant. À refaire encore et encore.
Aucun professionnalisme dans cet établissement!!!