Kebabs de filets de poulet dans un pain rond servis par un restaurant à Caen en plein centre-ville.
Ah le Safran ! Pour nous, c'est l'un des meilleurs kebabs de Caen ! Et cela fait près de 25 ans qu'on s'y régale ! On aime la recette inchangée et incontournable, 100 % filets de poulet marinés dans de l'huile d'olive et du citron et d'autres ingrédients secrets, qu'Ahmad prépare chaque jour. Secondé au comptoir par son fils Keyvan et sa femme Marlène en cuisine, c'est une affaire familiale qui tourne, il suffit de voir la queue devant le petit établissement ! Venez tôt, une fois la broche terminée, il n'y a pas de rab, même s'il n'est que 20h !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE SAFRAN
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Seul bémol, il faut aller tôt car cela arrive qu'ils n'ont plus rien (victime de leur succès).
Le pape François disait la chose suivante : "La vérité est essentielle, sans amour, elle est intolérable". Je me permets ainsi, par amour pour le kebab, de rétablir la seule et unique vérité : le Safran est et restera le meilleur kebab de Caen.
Car oui, à défaut de surfer sur la vague de popularité lancée par Orelsan, c’est sur des bases solides que le Safran navigue. Avec une sauce blanche maison plus explosive que les vagues de Nouvelle-Calédonie, un pita moelleux comme un oreiller et une broche à base de poulet qui met à mal le film Chicken Run, le duo père-fils derrière le comptoir sait qu’il peut compter sur un savoir faire unique.
Ce duo, par ailleurs, se pose dans la lignée des plus talentueux, et concurrence ainsi Batman-Robin, Thierry Henry-Bergkamp, ou encore Michael Scott - Dwight K. Schrute
Ce duo respire tantôt la générosité, la sympathie et finalement l’amour du kebab, raison pour laquelle il est si particulier.
Le Safran, situé rue Saint Sauveur, ne paye pas de mine de l’extérieur, mais constitue une véritable mine d’or pour nos estomacs. Si le Safran a plusieurs fans, je suis parmi eux. Si le Safran n’a qu’un seul fan, c’est moi. Et si le Safran n’a plus de fan, c’est que je ne suis plus là.
"C’est pour ma ville, Safran pita blanche"