CAFE MONDEGAR
Fondé en 1932, le Cafe Mondegar est l'un des cafés les plus anciens de la ville. Il était d'ailleurs le premier à posséder un jukebox à Bombay ! Depuis 1990, les murs sont décorés par le fameux artiste goanais, Mario Miranda. Ses dessins représentant des scènes de vie sont célèbres dans tout le pays. L'endroit est sympathique et on peut y manger à toute heure. Grand choix de snacks, de plats de tous les pays. Une salle est climatisée, l'autre non. La jeunesse et les artistes de la ville s'y donnent rendez-vous ici pour papoter autour d'un café ou d'une bière.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur CAFE MONDEGAR
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
On y mange même du boeuf, mais les plats à base de crevettes font plus local.
Grande variété de bières.
On nous offre des cartes postales souvenirs avec les dessins de la décoration.
Le restaurant vend aussi des chopes de bière et des tee-shirts à son logo.
Très chouette pour une soirée dépaysante!
Par contre je ne recommanderai pas ce café pour la cuisine, le fromage de la pizza vous colle aux dents, la soupe chilli était très salé, et les cheese ball sans goût... Je ne le recommanderais pas non plus aux étrangers car ils pourraient vous forcer à payer des pourboires:
Le serveur n'addressait la parole qu'à mon mari alors que c'était moi qui payait l'addition, mon mari lui a alors demandé de s'adresser à moi concernant l'addition. Je suis franco-indienne et mon mari est français, le serveur voulait faire payer un pourboire à mon mari. Sachez que la loi indienne n'oblige personne à payer un pourboire dans un restaurant!!! (Conseil aux voyageurs: Même si certains restaurant ajoute des frais de service sur le ticket, vous pouvez demander à retirer ces frais sachant que certains ne se prive pas et vous ajoute jusqu'à 12% sur le total)
Bref, c'était une mauvaise expérience pour nous et nous n'avons pas apprécié leurs comportements envers les "étrangers".