Superbe musée tout droit sur la place du Dôme qui accueille plus de 400 œuvres des grands artistes italiens du XX siècle.
Au cœur de Milan, le Musée du XXe siècle est le dernier fleuron culturel de la ville, ouvert en décembre 2010. Situé sur la place du Dôme, dans le palais de l'Arengario, imposante architecture rationaliste des années 1920, 8 200 m2 d'art se déploient sur trois étages avec vue sur la place. Plus de 400 œuvres les plus représentatives des courants artistiques du dernier siècle enchantent le visiteur qui ne peut s'empêcher de s'arrêter méditer quelques instants dans chaque salle. Du Futurisme à l'Arte Povera, répondent à l'appel Balla, Boccioni, de Chirico, Morandi, Sironi, Carrà, Guttuso, Manzoni. Mais aussi des étrangers comme Braque, Picasso et Kounellis. Une salle entière est réservée à Lucio Fontana. Son Soffitto Spaziale (Plafond Spatial), réalisé en 1956 pour le plafond d'un hôtel sur l'île d'Elbe, est quelque chose de transcendant. Grâce aux immenses baies vitrées qui ouvrent sur la place, les œuvres dialoguent directement avec l'extérieur, comme si elles se voulaient « accessibles à tous ». Ainsi le Quatrième Etat de Pellizza da Volpedo semble s'avancer directement vers le promeneur insouciant du Milan d'aujourd'hui.
La librairie et le restaurant sont les lieux de rencontre du musée. Le néon de Lucio Fontana représente une ultime étreinte à la ville. Reflet du dynamisme culturel fébrile de Milan, la Collection permanente est essentiellement l’histoire de plusieurs collections privées qui ont été réunies grâce à la générosité et à la passion pour l’art de nombreux collectionneurs privés.
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Avis des membres sur MUSEO DEL NOVECENTO
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
L'ultimo piano con le opere di Fontana e la vista panoramica non era accessibile, così come gran parte del terzo piano.
Audio guida non disponibile (dicono che dopo il COVID non hanno più ripristinato il servizio...).
Non è stato possibile lasciare la giacca al deposito perché "mi spiace ma non prendiamo i cappotti".
Il tutto ovviamente a prezzo pieno.
Peccato, c'erano tanti turisti e (la mia) Milano non ha fatto una bella figura.