CASA MARISA
Hôtel fondé sur la lave à peine refroidie, où sentir la chaleur remonter par le sol, pourvu de chambres autour d'une cour fleurie
Il s'agit d'une maison de 15 chambres disposées autour d'une grande cour fleurie. On peut aussi choisir de dormir dans l'un des 7 funkus, les bungalows traditionnels. Le restaurant est ouvert sur la cuisine et une belle terrasse. Comme l'hôtel est construit sur la lave à peine refroidie, on sent la chaleur remonter par le sol, les fenêtres et les portes restent donc souvent ouvertes. Casa Marisa prône le développement local : 100 % d'énergies renouvelables, 80 % de produits locaux consommés et 100 % de salariés capverdiens. Une belle escapade au pied du volcan.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur CASA MARISA
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
Outre le site qui est fabuleux, les chambres sont très agréables, comme il est écrit partout le sol est encore chaud à cause de la lave mais aucune gêne la dessus!
Mustapha et les personnes qui y travaillent sont super accueillants et très à l'écoute. Ils savent conseiller et connaissent très bien le site.
Mention spécial pour le restaurant, moment de réconfort apres l'effort. Tout était très bon (poulet, poisson, légumes... Tarte coco...).
Merci pour tout
Ayant passé 3 jours sur zone, je signale que c'est vraiment le seul vrai restaurant dans le coin.
Agréable lorsque l'on veut changer "d'air".
Il y a du choix, c'est plus confortable et pas plus onéreux que d'autre donc ne pas hésiter d'aller faire un tour dans ce restaurant.
Je suis venue chez vous en août dernier, et je n'ai malheureusement pu rester qu'une nuit.
Vous vivez dans un endroit magique, envoûtant et j'ai trouvé la population exemplaire de courage.
En effet, il faut être extrêmement courageux pour vivre au pied d'un volcan qui a tout enseveli voila 3 ans.
Alors oui le sol est chaud, mais nous sommes sur une coulée de lave, et pour ma part je n'avais jamais dormi sur une coulée de lave !
Certaines personnes trop blasées, ne savent plus apprécier les choses rares ...
Frustrée pour ne pas avoir pu faire l'ascension du Grand Pico à cause de la pluie, mais seulement du Petit Pico (magnifique cependant), j'espère pouvoir revenir un jour et resterai plus longtemps pour m'imprégner de cette atmosphère particulière.
Marisa, merci pour ce lieu magique que vous nous faites partager et bonne continuation au pied du volcan
Il est très difficile de dormir, car le carrelage est bouillant du fait de la chaleur de la lave, et le confort est très sommaire pour le prix.
Le repas en 1/2 pension est composé d'un seul plat, tout le reste est en supplément, contrairement à tous les autres endroits où nous sommes passés.
Impression un peu désagréable d'être victime du business de l'ascension du volcan et d'une situation de quasi monopole.
Cela n'enlève rien à la beauté du site et à l'inoubliable expérience de l'ascension du grand pic.
Même si cela n'est parfois pas agréable, nous considérons cela comme un stimulant précieux pour l'amélioration.
Cependant, je dois répondre de façon détaillée ici parce que je vois que vos commentaires contiennent des malentendus et des accusations sérieuses et injustifiées.
Ceux-ci peuvent être très trompeurs pour d'autres lecteurs.
Confort et prix: certaines chambres ont un plancher très chaud. Ceci est expliqué à nos clients à l'arrivée et dans les descriptions dans le net, comme celle du Petit Fute. Que les fenêtres et les portes peuvent rester ouvert ici est également un avantage de la haute sécurité et l'absence totale de moustiques et autres parasites. Au cours des 5 mois d’hiver relativement très froids, le chauffage de lave est un avantage (2017, 18.Jan: -6 degrés Celsius avant le soleil). Dans le reste du temps, cela sure une limitation de confort. Des températures sont similaires comme dans São Filipe mais nous n'avons pas de climatisation. Ceci n'est pas réalisable dans les Caldeiras sans alimentation centrale d’électricité, également avec le prix de la chambres. Nous sommes très reconnaissants à tous nos clients qui ont toléré cette propriété "spéciale" de reconstruction. Mais maintenant, trois ans après l'éruption, la température de la lave a diminué rapidement.
Nous essayons de maintenir les prix aussi bas que possible. Vous ne devez pas oublier localisation de cet hôtel. Pour example: Le Caldeiras n'a pas de source d'eau. En raison du transport, nous devons payer des prix extrêmement élevés pour l'eau. Une construction à cette hauteur avec son infrastructure minimale est extrêmement coûteuse aussi. C'est la seule maison d'hôtes à alimentation continue (entre autres choses générée par la chaleur de la lave). Néanmoins, nous avons réduit le du prix pre-calculée d'environ 12% et nous sommes au milieu bas des tarifs des chambres du Cap-Vert.
Resturant / food: Ici, j'ai pleuvoir la réclamation, nous n'avions qu'un plat avec des suppléments éventuellement différents, comme faux. Il est vrai que nous avons pas de carte nourriture, mais seulement des plats du jour. Cependant, jamais moins de 2-3 d'entre eux. Nous sommes bien équipés et capables d'accueillir les souhaits spéciaux de nos invités. Cependant, cela nécessite une communication en temps opportun. Notre entreprise est basée sur le succès de Marisa en tant que cuisinier. Il doit y avoir un malentendu ici.
L'accusation selon laquelle nous avons le monopole de l'ascension volcanique et des guides est injuste et incompréhensible. L'association de guides et les guides sont indépendants, nous n'avons aucun guide engagé par nous et aussi aucune marge sur les frais. Nous offrons une consultation et une organisation gratuites des excursions. Les prix de l'Association sont fixes et mêmes pour tous les guides. Pico 40 €, Pico + Pequeno 60 €. Bien que la protection civil de Cabo Verde ait clairement interdit l'ascension de Pico et Pico Pequeno sans guide local. En tant que association, nous avons décidé que nos services sont toujours une offre volontaire. Nous avons plusieurs activités de sauvetage chaque année, ce qui signifie un risque, beaucoup de travail et des coûts pour les guides. Nous n'avons pas de sauvetage de montagne officielle, pas d'hélicoptères et pas d'ambulance. En cas d'accident, la seule chance d'aider le plus rapidement possible est un guide local en accompagnement. Par conséquent, nous conseillons fortement de devenir un guide pour les visites potentiellement dangereuses. Merci à Dieu, nous ne devons même pas le faire pour la plupart des visiteurs. Ils apprécient les services d'un guide et sont également motivés à soutenir les gens du pays dans leurs divertissements. Il n'y a pas de contrainte ou même de monopole.
En conclusion, je préciserais que bien que nous attendions les commentaires ultérieurs. Mais encore plus constructif est une plainte directe sur le terrain, en particulier en cas de grande insatisfaction.
Cordialement
Mustafa Een, Casa Marisa