PEACE HOUSE SHOWA
Petite guesthouse très conviviale. Dans la salle commune, jeux et livres sont mis à la disposition des visiteurs, des petites fêtes sont organisées de temps en temps et les voyageurs sont invités à manger tous ensemble. Les dortoirs et les douches sont simples et un peu vieillots, mais l'établissement reste d'un très bon rapport qualité/prix, notamment pour la chaleur de l'accueil. Il est possible de profiter d'une laverie sur place. La cuisine commune est équipée d'un four micro-ondes, d'une cuisinière et d'ustensiles de cuisine.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur PEACE HOUSE SHOWA
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Les chambres ne sont pas confortables ; les tatamis, les murs, le matelas et l'oreiller sont détrempés, même dans les chambres privées les plus chères. Si vous devez séjourner ici (PAS DE CHAMBRE À OSAKA), je vous recommande de choisir un dortoir car il est plus adapté pour dormir que les chambres privées.
Quant aux toilettes... Je ne peux même pas les décrire. Les toilettes publiques sont plus propres et plus modernes, c'est tout.
la conclusion est TRÈS DÉCONSEILLÉE, ET À ÉVITER À TOUT PRIX !
Entrer dans la chambre qui m'avait été assignée revenait à entrer dans une scène d'un film d'horreur. La literie, si on pouvait même l'appeler ainsi, était tachée et empestait les fluides corporels, tandis que le matelas donnait l'impression d'abriter une colonie de vermine. Les murs étaient ornés d’une gamme éclectique de taches mystérieuses, toutes plus répugnantes les unes que les autres, et le sol semblait s’écraser sous mes pieds à chaque pas.
Mais c’est la salle de bain qui m’a vraiment poussé au bord du dégoût. Un cloaque de crasse et de pourriture, c'était un terrain fertile pour toutes sortes d'horreurs indescriptibles. Les toilettes étaient bouchées par on ne sait quoi, les lavabos étaient incrustés de couches de crasse, et la douche... enfin, disons que je préférerais me baigner dans les égouts.
Comme si la misère physique ne suffisait pas, les niveaux de bruit dépassaient l'entendement. C'était comme si l'auberge était devenue un refuge pour créatures nocturnes, avec des cris, des cris et des bruits non identifiables résonnant dans les couloirs à toute heure de la nuit. Le sommeil, si on pouvait même l'appeler ainsi, n'était qu'un rêve lointain dans cette misérable ruche de débauche.
En résumé, Sachi Hostel n'est pas seulement une déception ; c'est un fléau pour le concept même de l'hospitalité. Entrez à vos risques et périls, mais soyez prêt à affronter un niveau de saleté et de dégradation qui hantera vos cauchemars pendant des années.