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Ce petit monastère pensé par saint Mexme, disciple de saint Martin de Tours, deviendra collégiale et le principal édifice religieux de Chinon. C'est autour de l'an mil que seront ajoutées ses parties les plus anciennes : la nef, la partie occidentale et ses deux tours. On doit leur conservation à un vaste chantier de restauration et de réhabilitation. Désormais lieu culturel, la nef centrale accueille un petit théâtre en bois. Le narthex conserve d'importantes peintures murales médiévales, associées aux vitraux contemporains d'Olivier Debré depuis 2006.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur COLLÉGIALE SAINT-MEXME
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Questions fréquentes :
Désaffectée à la Révolution, la collégiale n'est plus entretenue : en 1817, l'effondrement du grand clocher du transept entraîne la ruine des deux tiers de l'édifice. Les parties subsistantes (avant-nef, nef et chapelle au nord) sont transformées en école, utilisée jusqu'en 1982.
Depuis cette date l'édifice, étudié et restauré, devient un centre culturel destiné à recevoir spectacles, visites, expositions. C'est dans ce cadre qu'ont été installés dans l'avant-nef, en 2006, les vitraux abstraits créés à partir de cartons du peintre Olivier Debré.
Pour trouver un commentaire plus détaillé et pertinent, lire l'ouvrage de R. Ranjard, La Touraine Archéologique, Joseph Floch, Imprimeur, Editeur, Mayenne, 1968. Page 304 et suivantes.
On trouve encore ce livre précieux chez les bouquinistes en Touraine et probablement chez l'un d'entre-eux qui se trouve à Chinon.