Adresse offrant des spécialités de la maison, un plat de résistance, des viandes et des fruits de mer à Reims
Qui s'y frotte s'y pique ! L'Espelette vous emmène faire un tour au Pays basque pour goûter à ses plats délicieusement épicés. On commence bien la soirée avec quelques tapas pour se mettre en appétit et découvrir les spécialités de la maison : piquillos farcis pour faire chauffer l'ambiance et une verrine de gaspacho pour se rafraîchir avant d'attaquer le plat de résistance. Lomo piquillo à la plancha ou Axoa, de l'épaule de veau poêlé aux piments basques pour les amateurs de plats relevés, gambas à l'aïoli grillées à la plancha pour les plus frileux. Pimentée ou non, voilà une cuisine qui ne manque pas de saveurs et vous fera découvrir tout le charme et le piquant de l'Euskal Herria !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur L'ESPELETTE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Je discute avec la responsable qui me dit que les équipes et la cartes ont changés. Avant de les lancer en servir, apprenez les à se servir d’une friteuse c’est pas bien compliqué pour un cuisinier.
Ah oui ! 8,50€ pour 5 croquettes congelés*
Service long et salle bruyante. On ne recommandera pas ce restaurant ! Vous trouverez mieux et un meilleur service ailleurs !
Pour une moyenne de prix assez élevés je m’attendais à avoir de la nourriture de qualité, mais ce n’était pas au rendez-vous !
Les tapas frit étaient CONGELÉS à l’intérieur, après m’être plaint de cette erreur on me les réchauffe dans la friteuse ! (Je ne pense pas que se soit très hygiéniques).
Concernant les plats, ils étaient copieux mais TROP SALÉS.
Au moment de payer ( après une longue attente) je souhaite une remise, et le serveur me dit qu’il peut m’en faire une. Mais le prix sur le TPE apparaît sans remise… on me dit que finalement ils ne peuvent pas me faire de remise… après une longtemps discussion on me propose un shooter … ( je ne bois pas d’alcool) donc j’ai rien.
À fuir !