Un bar branchouille avec des tables en bois et des ampoules nues proposant des cocktails originaux à Paris.
Chez Martin il y a à boire et à manger, mais attention dans le bon sens du terme. Le boss c'est Loïc Martin, un ancien serveur du Passage, qui a pris son envol en 2014. Il a fait de l'établissement un bar plutôt branchouille mais pas tape-à-l’œil. Il donne le ton avec son tonneau en devanture, ses tables en bois et les ampoules nues qui demanderaient peut-être un abat-jour. On est dans l'archétype du bistrot ! On vient surtout pour les cocktails originaux et même parfois surprenants que l'on accompagne de bouchées à partager : fouet catalan, topinambours frits et pecorino, moules en escabèche, tarte au poulet et aux poireaux, coing, meringue et crème... Des tapas inspirées qui feront le bonheur de tous les fêtards affamés.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur MARTIN
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
The place was extremely loud, the food was inconsistent, in general I wouldn’t recommend spending your hard earned cash here.
L’établissement qu’il vous faut si vous aimez être reçu par des clowns. Votre seul moyen d’étancher votre soif sera dans la remise, une chaleureuse annexe baptisée « Sandwichs – Paninis – Crêpes ». Véritable lieu de villégiature estivale, votre fardeau sera de faire tenir boissons et apéritifs en équilibre entre 2 trous et la chaussée.
Ne vous fiez pas à l’apparent calme en début de service, le vide de la salle sera vite comblé par le personnel et son insatiable appétit en table VIP, vous toisant de son méprisant regard.
La forme du patron ne lui permettra pas de vous atteindre, mais méfiez-vous de ses humeurs, il n’hésitera pas à vous retirer une table ou une chaise si vous êtes moins serré que sur la 8 direction Ballard en sortant du boulot.
Les autres Mickey ne sont qu’une déclinaison plus ou moins réussis du patron, avec une vision de l’hospitalité très innovante, qui fera jurisprudence dans l’histoire de la restauration.
Parlons peu, parlons Serge. Le fameux cocktail signature, il se décline en plusieurs versions plus inutiles les unes que les autres, qui laisse un goût amer à l’impression de la facture.
Mon conseiller bancaire n’autorisant pas les découverts, je me rabats sur la pinte à 5 euros. Et surprise, j’ai découvert le grand frère du demi : le trois-quarts.
Soyez cependant rassuré, la piste aux étoiles ferme tard, et les artistes ne vous adresseront pas un sourire jusqu’à 2h passé.
Ne reste plus qu’à espérer de ne plus croiser le chemin de ces zinzins et leurs masochistes de clients dont je ne ferai plus partie.
Le hasard a voulu que je boive mon verre pendant que les cuistot prenaient leur repas : une bonne odeur de FOLIE très prometteuse je reviendrai diner.