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Street-food bien ficelée affichant une proposition culinaire alléchante, concoctée par le chef israélien Eyal Shani.
Avec Miznon, le chef israélien Eyal Shani – une vraie star dans son pays – a bâti un concept gagnant. L'affluence dans les différents établissements – on compte désormais trois implantations parisiennes – le prouve. Le Miznon du Marais, à quelques mètres de l'As du Fallafel, a été historiquement le premier en dehors d'Israël. Murs bruts, cuisine ouverte, tableau noir crayonné, service jeune, musique branchée et surtout une proposition culinaire alléchante : des falafels aussi savoureux que généreux (avec du merlu, du bœuf bourguignon, de l'agneau, de l'aubergine, de la ratatouille…), des kebabs, de sublimes patates douces… Bref, de la street-food bien ficelée.
Avis des membres sur MIZNON
plats pas très créatifs