Adresse à Paris préparant des plats de gastronomie contemporaine, des viandes, des poissons, des produits d'exception.
Des assises autour d'un unique comptoir qui permettent de ne rien perdre de ce qui se passe dans la grande cuisine centrale, des murs recouverts de panneaux de laque noir et relevés de pointes de rouges, enfin des assiettes de gastronomie contemporaine haut de gamme, qui savent s'encanailler d'inspirations plus bistronomiques à l'occasion, préparées par le chef exécutif Axel Manes. Avec l'Atelier Saint-Germain, Joël Robuchon semble avoir trouvé une formule qui défie le temps et les modes. Quelques assiettes ? Le saumon dans une fine tuile croustillante et sa pomme d'amour de Corrèze ou le crabe royal émietté sous un crémeux d'avocat, eau de tomate infusée au curry et à l'estragon, pour les entrées. Une dorade royale, son cœur grillé sous un tortello végétal et sa fine émulsion au citron caviar ou l'agneau de lait en côtelettes à la fleur de thym pour les plats ou encore le ris de veau, clouté de laurier frais à la feuille de romaine farcie. Le dessert : la meringue à la française, sorbet pamplemousse sous une émulsion à la fleur de coquelicot, ou le chocolat tentation, ganache onctueuse au chocolat Araguani, glace au grué de cacao, biscuit Oreo. Des produits d'exception et une belle originalité donc pour une addition, sans surprise, très élevée.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur L'ATELIER SAINT-GERMAIN DE JOËL ROBUCHON
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Service digne d’une brasserie et encore !
Accueil industriel
Service des plats non synchronisé entre les convives alors que l’on était seulement trois !
20 minutes d’attentes pour sa veste en sortant sans merci ni au revoir
Rapport qualité prix au plus bas
750 euros pour trois avec un service non étoilé….
Vu les souvenirs de qualités et d’accueil … déception immense
En sortant , en voyant mon mécontentement , un convive m’a dit : mais ils ont perdu une étoile !
Ils ont oublié que pour un resto étoilé , on ne doit pas se sentir dans un service industriel mais personnalisé !