BIJOU BAR
Il ne s'agit pas d'un simple pub, le Bijou Bar, au pied de la tour Montjoie, est sans doute le plus ancien débit de boissons de la ville : « Au XIXe siècle, bar-épicerie et relais de poste pour les chalands en bois, le lieu est toujours irrigué par trois fleuves : la Seine, le Vin et la Bière », dit la légende. L'actuel tenancier s'est installé derrière le bar depuis plus de 10 ans maintenant, et sert tout aussi bien de menus repas que de larges chopines ! Côté assiette, la devise du restaurant résume assez bien l’esprit : « C’est toujours bon et c’est nous qui le faisons ». On peut se laisser tenter par un millefeuille de saint-nectaire et ses patates au lard et au cumin en entrée, une entrecôte normande crème maroilles, un tartare de bœuf de l’Aubrac « coupé au couteau » ou encore un foie gras poêlé sur toast sauce raisin en plat de résistance. Pour clore sur une note sucrée (la gourmandise est un joli défaut, dit la carte) on aura le choix entre une crème brûlée vanille au rhum, un far breton aux pruneaux d’Agen ou un pain perdu au caramel maison ! Si la carte du restaurant est appétissante, celle des cervoises en magasin ne l’est pas moins : la carte des bières a des airs de papyrus, annonçant par exemple l’ale écossaise « à goûter pour faire plaisir au patron », la Mongozo Coco venue d’Afrique, l’O'Haras Irish Red, sans parler des innombrables étiquettes belges. Et nous n’avons même pas abordé la question des whiskys et autres spiritueux...
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur BIJOU BAR
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Arrivés à 19h30, la dernière assiette (un burger, rien d’exceptionnel à faire) a été servi à 22h, après avoir du relancer pas moins de 4 serveurs différents.
Un loupé peut arriver, mais dès qu’on s’en rend compte, on le rectifie au plus vite. Il aura fallu plus d’une heure entre la prise de conscience du loupé par une serveuse et le service pour ne même pas avoir le plat correspond à la commande ( « plus de courgettes, frites uniquement »)
Le sens commercial du patron a du rester en confinement, car il n’est à aucun moment venu nous voir, et au moment de régler aucune excuse, ni geste commercial.
Juste un « il faut venir en hiver la prochaine fois ». Ce à quoi j’ai répondu qu’il n’y aurait pas de prochaine fois.
Ce cher monsieur ne s’est pas gêné pour me traiter de « chieuse » caché derrière son masque.
Si les clients vous font chier, changez de métier.