LE GÎTE DE LA SABOTIÈRE
Maison traditionnelle bretonne près des plages de Pénestin idéale pour une détente en famille ou entre amis
Quasiment à côté du Canal de Nantes à Brest et à une demi-heure des plages de Pénestin, à l'estuaire de la Vilaine, venez-vous détendre en famille ou entre amis loin des foules et de ses nuisances. Dans une maison bretonne traditionnelle, vous trouverez un intérieur charmant décoré d'objets chinés au fil du temps, dans des vide-greniers et brocantes. Dans cette maison bretonne, vaste et très confortable, munie d'un jardin dans lequel vous pourrez vous prélasser, votre sommeil ne pourra être troublé que par le gazouillis des oiseaux. A partir de cet ancien logement de sabotier, vous pourrez découvrir la vieille ville de Redon, la Grande Brière Mottière, et la Presqu'île guérandaise, tout cela à proximité.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur LE GÎTE DE LA SABOTIÈRE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
A l’arrivée, tout semble conforme aux photos : belle décoration intérieure (c’est pour cela que je l’ai choisi !), aménagements suffisants, un jardin bucolique avec fleurs et herbe haute (les chats vont apprécier).Madame Revault seule nous fait la visite, sans aucun état des lieux, et en terminant par les deux chambres… du sous-sol ! Très forte odeur d’humidité malgré la présence d’un déshumidificateur et aucune couette : mes filles y passeront 2 nuits avant de remonter les matelas en haut. Sauf qu’au premier étage, c’est une fournaise. Sur au moins 8 sites, seul un (gites.fr) parle de rez-de-jardin. On peut ajouter le manque d’éclairage (cf tableau électrique catastrophique), vitre cassée, pas de transats, barbecue préhistorique, parasol remplis d’araignées, et table de jardin en bois rongé par les ans : on comprend mieux pourquoi quand on découvre que les photos datent de 2011 (site non mis à jour) ! Et le prétexte d’une maison de campagne n’enlève pas la nécessité de faire la poussière régulièrement : hors il est clair que ce gîte est négligé depuis un temps certain…
Autre déconvenue : début de 3e semaine, en notre absence, la pelouse est tondue. La moindre des choses aurait été de nous prévenir.
Nous demandons alors par texto à parler à Mme Revault (message ci-joint).
Lorsqu’elle arrive, celle-ci refuse d’entendre les choses négatives, nous reproche de l’avoir agressée par message. Impossible de discuter. Je hausse le ton pour me faire entendre, ce qui nous vaudra le passage de son mari 5 min après qu’elle soit partie. Avec lui les choses dégénèrent largement. Il nous intimide d’abord, veut nous congédier sur le champ (« ici, c’est chez moi » leitmotiv de cet homme), nous insulte et nous agresse verbalement et se moque même de ma fille mineure qui tentait de calmer les choses. Evidemment je ne me laisse pas faire et lui tiens tête. Mais suite à notre refus de partir le soir même, il nous annonce qu’on aura « une nuit agitée ». Lorsqu’il se met à agresser verbalement ma fille, je le filme, ce qui, étrangement, le fait partir dans la minute. Jamais, en presque 10 ans d’expériences de locations, nous n’avons eu à faire face à une telle attitude d’agressivité et d’irrespect. C’est inadmissible. J’appelle les gendarmes après son départ, vu le personnage, toutes ses menaces, et le stress engendré.
Le lendemain, jour du départ forcé, Mr Revault est particulièrement minutieux dans sa vérification (amusant après un état des lieux inexistant, et une visite sans sa présence). Il nous vire rapidement et c’est dans le jardin que mon chèque de remboursement des nuits écourtées se fait.
Si j’écris ce long message aujourd’hui c’est pour mettre en garde les futurs locataires des possibles désillusions. J’espère sincèrement qu’aucun.e ne fera face à ce genre d’agression de la part de ce propriétaire et que cela ne se reproduira plus. Mais l’incident me paraît trop grave et trop violent pour ne rien dire. Je ne suis pas là pour déverser ma haine sur Internet en ces temps de division. Ainsi, si ce message fait part à une suite des locataires (comme il nous a été « mentionné » par ledit propriétaire), nous ne répondrons pas.
Tout est déjà dit.