Des viennoiserie chaudes, café ou chocolat maison dans une brasserie à Nantes.
Inauguré en 1895, le bâtiment témoigne en lui-même de l’esprit architectural d’un célèbre céramiste nantais : Emile Libaudière. Faïences, sculptures, frises, peintures, miroirs, couleurs sont des joyaux historiques que l’on peut admirer ici. Cette brasserie fut donc dès l’origine le lieu de passage obligé de la bourgeoisie nantaise qui côtoyait aussi les artistes du théâtre Graslin. Puis les surréalistes en firent leur QG, et au XXe siècle des cinéastes s’emparèrent de la beauté du lieu pour y tourner de célèbres films. En 1964, La Cigale est classée monument historique… Aujourd’hui, outre le cadre, on y vient pour partager une cuisine servie en continu. On peut donc démarrer par un copieux petit déjeuner servi dès 7h30 (jusqu'à 11h45) autour de viennoiseries chaudes, d’un café ou du célèbre chocolat maison, voire embrayer sur un brunch complet avec une assiette gourmande, en regardant Nantes qui s’éveille. Si vous arrivez en plein après-midi la faim au ventre, la carte proposera un grand choix d’entrées, de fruits de mer et d’huîtres, mais aussi des viandes et poissons provenant de la pêche du jour, accompagnés de légumes, sans oublier le choix de fromages du terroir ainsi que les desserts. Ne manquez pas le tartare de bœuf préparé sous vos yeux avec une maestria dont on ne se lasse pas ! Pour les adeptes du salon de thé, glaces artisanales et pâtisseries accompagneront un moment de détente dans un cadre des plus agréables. Unique, indémodable, incontournable...
(Avis d'origine)
adoramos este local histórico
Et très bon.
Grignotages apéritifs à 8 € et Plats à plus de 40 € pour une qualité que l'on retrouve dans des restaurants classiques. Une salade non assaisonnée, des viandes trop cuites, une côte de sanglier qui est plutôt celle d'un marcassin au vu de la taille, des frites plus que banales, des desserts réduits façon shrinkflation notamment le finger chocolat réduit de moitié par rapport à avant et un manque de générosité sur la crème pour accompagner les St Jacques et de pauvres olives en apéritifs d'où notre commande de grignotages sans plus grand intérêt non plus malheureusement !. Bref un restaurant représentatif des arnaques d'aujourd'hui au regard du contexte ! On réduit tout au détriment de la qualité et on massacre sur les prix sous prétexte que tout augmente. Quelle désolation pour de telles institutions que l'on adorait avant....151 € pour 2 au déjeuner ! 2 apéritifs, 2 verres de vin, 2 grignotages, 1 entrée et 2 plats, 1 demi bouteille d'eau minérale. Pas de dessert quand on a vu la taille du finger ! Et pas de café ! Et personne ne dit rien ! C'est normal c'est le contexte d'aujourd'hui...pffff....heureusement que le bon pain de campagne et le beurre de chez Beivellaire étaient encore là ! J'espère que vous saurez vous remettre en question. On veut bien payer ces prix là mais pas pour une qualité si décevante ! Sans oublier qu'avant on nous ouvrait les deux portes lourdes de l'établissement quand on partait, plus aucune considération du client qui s'est bien fait avoir !