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Un lieu de vie culturel à Poitiers où l'on mange un morceau et déguste une bière artisanale.
S’il y a un endroit à Poitiers que l’on peut qualifier de lieu culturel, c’est bien l’Envers du Bocal ! Les plats du jour végétariens, boissons et conserves sont les vecteurs d’une philosophie de vie. Manger bio et boire sain, en prenant part à l’économie locale. Une invitation à découvrir les micro-brasseries du coin, à déguster des vins naturels. Et aussi échanger, s’ouvrir au monde et aux autres. Les histoires d’Aurélien, plasticien, Noé, musicien, et Hélène, qui œuvre dans le social, se font échos et nourrissent le lieu. Le mobilier de récup' retravaillé par Aurélien s’offre comme un musée. Tous les mois, une programmation culturelle éclectique est proposée. Ici règne un esprit !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur L'ENVERS DU BOCAL
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
Culturellement le lieu est chouette car il apporte et permet de porter une vision de Poitiers plus associative, avec différents arts qui s'y côtoient. Le cadre extérieur est au top. En revanche, la scène à côté des toilettes avec le bar en barrage pendant l'hiver est un choix totalement irrationnel. La salle à l'étage est chouette et des expositions y ont souvent lieu.
Les produits maximisent le local, parfois jusqu'à la faute de goût. Là encore le conseil n'est pas suffisant. On ne sent pas une volonté de comprendre l'attente du client. C'est vraiment ce qui limite ce lieu malgré un concept de collectif qui est brillant.
L'approche produits locaux est cependant intéressante car elle permet de mieux connaître la région, au risque parfois (souvent dans mon cas) de ne pas aimer.
Lorsque l'on y prend ses marques, on passe de vrais bons moments et le personnel est plus cool.
Pour moi, le lieu est un incontournable après la disparition du Plan B en tant que concept collectiviste, mais quel dommage que tant de personnes hésitent à y aller plus d'une fois du fait du premier accueil. Car pour devenir un habitué, il faut avoir envie d'y retourner...