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Avis LA BASTIDE DU CALALOU Moissac-Bellevue
Avis des membres sur LA BASTIDE DU CALALOU
4.5/5
53 avis
Rapport Qualité/Prix
Localisation
Propreté
Cadre /ambiance
Service
Rapport Qualité/Prix
Qualité de la cuisine
Originalité
Cadre/Ambiance
Service
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Vous en aurez pour tout les budgets bon rapport qualité prix, pas chers pour le cadre, le service et le repas.
A refaire sans hésitation.
Merci à toute l’équipe ainsi qu’au nouveau chef parisien depuis janvier 2022.
Quel beau de détente et de gastronomie, à refaire , une belle parenthèse provençale sous les oliviers
Seul petit bémol, le service a été un peu long du fait que le restaurant venait de rouvrir ses portes que depuis quelques jours et que le personnel avait besoin de reprendre ses marques mais nous leur pardonnons.
En prime, un cadre hors du temps, au calme, au milieu de la nature et du chant des grillons.
J’ai adoré cet endroit !
C'était une découverte pour nous, c'est certainement en passe de devenir une de nos adresses.
C'était parfait, je recommande vivement.
Il est agréable de déjeuner en face de la piscine
Les repas sont très fins , un chef de qualité
Situé dans un petit village au calme, donc lieu très paisible et sympathiqu
Entrée fade et peu abondante : minuscule rouleau de poivron fourré d’une pâte de fromage indéterminé, le « cake » qui l’accompagnait, archi-dur et granuleux ; magret de canard agréable, mais assiettes peu garnies (une moitié d’asperge en guise de garniture pour compléter la polenta), et les saint-jacques sans goût et trop cuites (mal décongelées ?) ; fromage (provenance difficile à connaître) insipide, sans aucun caractère ; brochette de fruits très loin d’être mûrs (cœur d’ananas non enlevé, archi-dur, fraises sans couleur ni saveur, au contact spongieux) le sabayon qui l’accompagnait ressemblait à une vieille sauce ratée, pleine de grumeaux et éventée....
- le cocktail d’après repas du samedi soir : mojito sentant exclusivement le Bacardi ; les débris racornis flottant en surface n’avaient plus aucun goût de citron vert ni de menthe fraîche.
- petit déjeuner du 20 juin : vers 7h30, œufs brouillés et saucisses figés par le froid, bacon à peine tiède ; le reste était heureusement abondant, varié, et agréable.