VANNERIE KAY PAY-LA
Dans cette petite coopérative, ce sont les femmes qui perpétuent la tradition de la vannerie, que les Caraïbes auraient transmise aux nouveaux arrivants puis aux « neg mawons » venus se réfugier sur les mornes. Pour tresser les chapeaux, paniers, malles, tapis, sacs à main, sets de table et bijoux, elles utilisent deux plantes à fibres typiques de l’île : le cachibou et l’aroman. Tout se fait à la main : récolte, séchage puis tressage minutieux. Essayez de venir le matin pour voir les ouvrières à l’œuvre et assister à la démonstration des techniques de tissage.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur VANNERIE KAY PAY-LA
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