Pas encore tout à fait saharienne et appartenant encore aux Hauts Plateaux, Bou-Saâda est une jolie ville proprette, l'oasis " du bonheur " comme le suggère son nom et comme l'affirment ceux qui l'ont découverte au XIXe siècle, tels les peintres Guillaumet (enterré au cimetière Montmartre) ou Étienne Dinet, un peintre orientaliste qui choisit d'y vivre et d'y mourir (en 1929), autant inspiré par la ville que par la sensualité des Ouled Naïl, des danseuses alors très en vogue. Cette " porte du désert " est l'oasis la plus proche de la côte algérienne.

" Bou-Saâda, la reine fauve vêtue de ses jardins obscurs et gardée par ses collines violettes, dort, voluptueuse, au bord escarpé de l'oued où l'eau bruisse sur les cailloux blancs et roses. Penchés comme en une nonchalance de rêve sur les petits murs terreux, les amandiers pleurent leurs larmes blanches sous la caresse du vent... Leur parfum doux plane dans la tiédeur molle de l'air, évoquant une mélancolie charmante... " Isabelle Eberhardt, Pleurs d'amandiers (1903).

Que visiter à BOU SAADA ?

Météo en ce moment

Loading...
Organisez votre voyage avec nos partenaires à BOU SAADA
Transports
Hébergements & séjours
Services / Sur place

Les circuits touristiques à BOU SAADA

Trouvez des Offres de Séjours uniques avec nos Partenaires

Photos et images de BOU SAADA

Il n'y a actuellement pas de photos pour cette destination.

ALGÉRIE
ALGÉRIE 2020/2021

Guide ALGÉRIE

17.95 € - 2020-03-11 - 408 pages

Autres destinations à proximité de BOU SAADA

Envoyer une réponse