Restaurant à l'atmosphère d'antan proposant une carte de gibier.
La Fischerstub créée en 1905, est une véritable institution. Elle a conservé son atmosphère d'antan, avec ses boiseries et sa décoration riche en clins d'œil à la Brasserie Fischer et à la région. On pourra y déguster toutes les incontournables spécialités régionales : choucroute, presskopf, camembert frit, sandre, rosbif, cervelas, jambonneau... En saison, vous trouverez également du gibier au menu. Ici, les proportions sont gargantuesques et les prix doux. Le service est agréable et les vins régionaux au verre ou en carafe accompagneront vos mets avec fierté !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur FISCHERSTUB
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Nous étions une table de treize personnes, étirée en longueur parmi d'autres tables importantes, et les convives en extrémité de table profitaient davantage des conversations étrangères que de notre groupe.
Cette communication amoindrie s'est ressentie lors de la commande et dans la suite du repas.
En effet, au moment d'obtenir nos plats principaux, au bout d'une heure et demie (il y a eu des entrées et un apéritif) nous recevons des plats communs pour les garnitures, avec de beaux plats dans les assiettes.
A-t-on oublié de nous donner des consignes, ou ont-elles été noyées dans le brouhaha, mais chacun se sert dans le plat à proximité. Pas de chance, le service avait prévu que nous partagions sur toute la longueur de la table.
Ce malentendu a donné lieu à une prise de bec regrettable entre une partie des convives et un serveur un peu acerbe.
Las, pour moi la soirée était gâchée. Le plat n'avait plus de goût, seul dominait le sentiment de gêne de m'être servi tandis qu'on refusait une repasse à mes convives.
Des renforts de garnitures finissent par être servis, sans que j'en comprennes davantage la proportionnalité (certaines garnitures individuelles étaient plus grosses que des garnitures à partager).
Au moment de l'addition, ces suppléments avaient été facturés, avant d'être offerts.
Je reste dubitatif du choix qui a été fait de servir des garnitures à partager strictement sur des tables aussi longues. Imaginez devoir partager des spaetzle avec un convive aussi quatre places plus loin, en croisant avec les patates d'un autre qui arrivent en retour.
Mention spéciale pour le cordon bleu à la crème.