PARC DES CHAMPS-DE-BATAILLE
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Parc boisé avec jardins, terrasse, de remarquables tours et des souvenirs des conflits entre la France et l'Angleterre.
Au temps de la colonisation, les conflits d'intérêts entre la France et l'Angleterre ont entraîné une succession de guerres et de traités. En 1759, James Wolfe est nommé officier commandant de l'assaut britannique et son mandat est précis : s'emparer de la ville fortifiée de Québec. S'en suivent plusieurs assauts et le 13 septembre 1759, les forces britanniques livrent contre Montcalm et ses troupes françaises la célèbre bataille des plaines d'Abraham. Cette importante défaite de l'armée française entraînera la reddition de la ville de Québec puis, en 1760, la capitulation de Montréal.
Au Parc des Champs-de-Batailles, il en reste des souvenirs (plaques commémoratives, monuments et pièces d'artillerie), disséminés sur 125 hectares de parc boisé et de jardins. S'y trouve une belle vue de la terrasse Grey. De là, la Promenade des Gouverneurs longe la citadelle jusqu'à la Terrasse Dufferin, au pied du Château Frontenac. Les tours Martello que vous apercevez dans le parc (quatre à Québec, dont deux sur les plaines d'Abraham) ont été érigées après la conquête anglaise, entre 1808 et 1812, pour servir d'ouvrages avancés de défense, en prévision d'une autre invasion américaine à la suite de celle de 1775. Rondes, robustes, en pierre, elles constituaient des unités de défense autonome servant à la fois de caserne, de magasin, de plate-forme de tir, et leur unique entrée à l'étage n'était accessible que par une échelle. Elles n'ont, en fait, jamais servi.
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Avis des membres sur PARC DES CHAMPS-DE-BATAILLE
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Questions fréquentes :
A la période que nous avons y été, il fallait des pics à rajouter aux chaussures pour éviter de glisser avec l'épaisse couche de glace qu'il y avait. On pouvait avoir une vue surprenante sur le Saint Laurent, et l'île d'en face. Au beaux jours, il y a de belles couleurs à découvrir. Très agréable à faire.