ROUTE DES CRÊTES
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En partant de La Laguna, la route des Crêtes offre de beaux panoramas souvent vertigineux, avec parfois la mer de chaque côté. Il n’est pas rare que les cimes de l’Anaga soient dans les nuages, en particulier en été. Peu après La Laguna, vous verrez apparaître la première zone de forêts, au-dessus du village de Las Mercedes. Dans un lacet, on parvient ensuite au mirador del Valle de Aguerre, qui offre une belle vue sur La Laguna et la crête dorsale. Avant d’atteindre les crêtes, on trouvera un second mirador, la Cruz del Carmen, à 920 mètres d’altitude. La route passe ensuite tout près du point culminant de l’Anaga avant d’atteindre le Pico del Inglés à 960 mètres. Au-dessus de la cime des arbres, le panorama est impressionnant : la mer de chaque côté, Santa Cruz tout en bas, le Teide au fond et à l’est la silhouette massive de la Gran Canaria. En arrivant au nord, on remarque le roque Taborno (707 mètres), en bord de mer. C’est un neck, une ancienne cheminée volcanique, érodée. Et à 8 kilomètres du Pico del Inglés, on arrive au col d'El Bailadero où la vue s'étend des deux côtés de la crête. De nombreux dykes (filon de roche magnétique dégagé par l’érosion) jalonnent les pentes. Sur le versant sud de ces crêtes, une route longe le barranco de Las Hueras jusqu’à San Andrés. En quittant cette route au-dessus du col, on peut descendre vers le versant nord en traversant un tunnel. Avant, on trouvera une aire de pique-nique et 1 kilomètre plus loin, une belle perspective sur les roques de Fuera et de Dentro.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
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Avis des membres sur ROUTE DES CRÊTES
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Les crêtes, la descente vers l'océan, et retour, à La laguna, la même route sous deux visions. Un must. De mirador en mirador, de ravissement en ravissement, Del Carmen à El Ingles, et à Benijo, le spectacle est permanent. Les lauriers s'ouvrent sur des paysages grandioses.
Un pur bonheur! C'est ça, Ténérife, pas ces agglomérats touristiques du sud, dont l'image marketing a pris toute la place.