DUC D'O

Année de fondation : 1983 Exportations : 85% de la production, vers 6 pays Distribution : grandes et moyennes surfaces, pâtisseries, épiceries... Le chocolat Duc d’O se décline en catégories classiques. Les pralines sont Pâtissières (fourrées de truffé noisettes, orange, crème pistache...) ou emballées (truffes au lait et blanches, chocolats à la liqueur, La Boule Duc d’O...). Plus audacieux, on s’essaie aux Fruits d’O : des pâtes de fruits (raisin, poire...) enrobées de chocolat noir. Enfin, le dernier-né Pralin’O, un carré qui se casse en 9 morceaux et autant de goûts différents, complète la panoplie avec une touche contemporaine. Une minute chrono L’aventure Duc d’O démarre quand Hendrik Verhelst achète trois lignesde production à la chocolaterie Guylian, dans les années ’8. Lesdébuts sont laborieux, mais prometteurs. La chocolaterie produitquelques tonnes quotidiennes de pralines, truffes et liqueurs.Aujourd’hui, avec une capacité de production multipliée, lachocolaterie peut produire environ 3 tonnes par jour, au respect desnormes européennes. Le succès du chocolat Duc d’O est lié à sa qualité (pur beurre de cacaoet un chocolat de couverture est signé Callebaut), mais aussi à sacapacité de conservation. Des tests ont démontré que les « liqueurs »peuvent se conserver au moins six mois et les autres variétés un an. Lesecret de cette garantie de fraîcheur ? Pas question d’ajouter desconservateurs ! Duc d’O utilise simplement une technique particulièrequi permet d’empaqueter les chocolats en moins d’une minute. Focus ... sur les Liqueurs. Pour le look, les chocolats sont rangés dans despetites caisses en bois qui rappellent celles utilisées pour lesbouteilles. Mais le plus important se trouve à l’intérieur. GrandMarnier, Cointreau, Mandarine Napoléon, Cognac Otard ou Courvoisier etWhisky Vat 69... il ne s’agit pas ici de n’importe quelles « liqueurs ».Pour la touche finale, Duc d’O frappe chaque praline des étiquettesminiaturisées de l’alcool qu’elle renferme.