LA PASSARELLE
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Un petit coin caché à Marseille proposant une cuisine à base des produits locaux et bio.
Lorsque l'on descend les marches de l'abbaye Saint-Victor, la Passarelle dévoile secrètement sa tonnelle ornée de verdure et de glycines. Son potager et le terrain de pétanque viennent parfaire la carte postale de ce lieu calme, charmant et bien ombragé ! C'est un réel plaisir de se restaurer à la Passarelle : nappes fleuries, chaises d'écoliers, tables chinées et jolies couleurs raviront les amoureux de la nature et des ambiances bucoliques. Un petit coin caché qui mérite le détour ! Ce sont des produits locaux et essentiellement bio que l'on y savoure. Les légumes proviennent de l'AMAP des Ollioules, les fleurs comestibles qui égaient les assiettes sont cueillies à Géménos, quant aux fromages de brebis, ils arrivent directement du Puy-Sainte-Réparade. Dans l'assiette, les courgettes se transforment en fleurs, les salades fraîcheurs croquent sous la dent et le cabillaud s'accorde subtilement au chorizo ! Restaurant secret et pourtant très fréquenté, il faudra donc être patient avant d'être servi et se laisser aller au délassement qu'offre le cadre de ce jardin, toujours d'été… A deux pas du Vieux Port, juste derrière le théâtre de La Criée, n'hésitez pas à traverser la Passarelle.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur LA PASSARELLE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
Effectivement, le cadre est particulièrement agréable.
Heureusement qu'on était bien sous la tonnelle, parce qu'on a vraiment attendu longtemps, avant d'être servis, puis entre les plats.
Les beignets de légumes étaient très beaux et appétissants, mais beaucoup trop gras, à peine égouttés en sortant de la friture.
La daurade était excellente, mais les légumes qui l'accompagnaient pas assez cuits, surtout l'aubergine qu'on a du mal à manger à moitié crue.
Avis très mitigé, donc.