LE BOBAR
Plats simples mais savoureux et divers plats de viande au Puy-en-Velay.
Entre la place du Plot et celle de la Mairie, c'est au pied de la bibliothèque municipale que se trouve le BoBar où règne une ambiance chaleureuse. Côté cuisine, ce sont des plats à la simplicité savoureuse qui sont proposés. On apprécie une cuisine simple et maison à base de produits locaux (viande, charcuterie, truite du Vourzac), de légumes de saison et frites maison. Les jeudis, vendredis et samedis soirs, le BoBar devient le lieu de rendez-vous des fêtards. Autour du bar à vins et de son offre variée, place aux tapas, bruschettas et autres planches terroir maison.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE BOBAR
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
En arrivant la terrasse était pleine,la serveuse m a dit qu il y aurait de l attente.Nous étions 6,nous avons pris l"apritif,l ambiance était agréable, les enfants jouaient sur la place ou l'acces est interdit aux voitures
nous avons été servis au bout de 25mn,De la piece de boeuf en passant par le burger au tartare de saumon nous avons tous été conquis.
De plus nous
avons pu deguster un dessert savoureux à2.50euros.
Merci de nous avoir permis de passer un bon moment tout en nous régalant et merci à ce personnel si agréable et attentionné au bien etre du client
Les viande ne font pas le poids inscris sur la carte (entre 200 et 2050g), la salade servis avec etait cuite, les frites imondes et les burger il n'y avait pas grand chose dedans, quand au sauce des bout de bleu (fromage) flottant dans la crême dégoutant...
Quand on sort du bobar, nous avons faim...
Nous nous Installons à table sur le coup de 13 heure. La fine équipe au complet (11).
Nous commençons à commander quand on nous annonce qu'il ne reste quasiment plus de pièces de boeufs qui semblait pourtant être l'une des spécialités du BoBar.
Nous n'étions pas au bout de nos surprises quand, une heure et demie plus tard nous ne voyons arriver que trois assiettes de salade. Il fallut encore attendre une demi-heure pour que tout le monde soit servie. Mais cela n'est que le début du plus beau fiasco qu'il m'a été donné de voir dans un restaurant. Les assiettes sont arrivées froides. Pour une salade rien de dramatique me direz vous mais quand une pièces de viande ou un Hamburger arrive ce n'est pas très appréciable surtout après quasiment deux heures d'attente. Surprise! dans les assiettes de lentille du puy où nous devions trouver une saucisse, de l'échine de porc et des lentilles, l'échine avait disparu. Nous questionnons le service sur cette mystérieuse disparition. La seule réponse que nous obtiendrons sera celle-ci:
" La saucisse est plus grosse c'est pourquoi vous n'avez pas d'échine de porc"
Quand au gratin qui accompagnait le hamburger commandé par certain il n'avait de gratin que le nom. Des pommes de terres baignant dans de l'eau et l'huile, accompagnées de petits lardons sous la forme de potée. Voilà à quoi cela ressemblait.
A la fin de ce succulent repas nous nous déplaçons pour payer notre repas. Au vue de l'attente et de la qualité des plats nous demandons gentiment au patrons de nous offrir les apéro au nombre de 4 sur une table de 11. Le patrons commence a nous dire qu'il nous avait prévenue d'une légère attente. Certes Mais cela ne correspond pas à deux heures d'attente pour des plats froids.Il renchérit en expliquant que ses prix sont serrés et qu'il ne peut nous offrir ces quatre malheureux verres. Il prétexte ensuite que nous nous sommes très mal comportés avec les serveuses à qui nous nous empressons de poser la question. Le patron retourne l'attention vers lui en disant qu'elles n'ont pas besoin de cela.
Le patron nous lance ensuite, comble de son incompétence, qu'à notre âge (20 à 30 ans) jamais il ne se serait permis un tels outrage. Il Fermera ensuite la discussion en disant qu'il est fatigué et qu'il n'a jamais eu de souci de ce genre.
Nous Payons donc notre dû. Je souhaite à la serveuse bon courage avec ce patron fort aimable.
Un sourire gêné et un murmure disant merci s'échappe de ses lèvres. Nous reprenons ensuite la route du retour écoeuré de cette escale qui ne fût rien de plus qu'un gros Bobard.