Que voir, que faire en Éthiopie ?
Les 10 bonnes raisons d'aller en Éthiopie
La vallée de l'Omo
Rencontrer les peuples vivant dans la vallée de l'Omo est un moment fort du voyage.
Une diversité incomparable
Près de quatre-vingts langues et cultures, plus de deux cents dialectes… L’Éthiopie est multiple.
Les châteaux forts de Gondar
La ville fortifiée aux châteaux forts classée par l’Unesco est un haut lieu du tourisme.
Un dépaysement garanti
L’Éthiopie fascine par le mode de vie de ses habitants chrétiens, musulmans et animistes.
Le désert du Danakil
La martienne dépression de Dallol et le volcan Erta Alé sont exceptionnels à visiter.
Faire un trek de montagne
Les montagnes du Simien et du Balé réservent des treks à plus de 4 000 m d'altitude.
Lalibela
La nouvelle Jérusalem regroupe onze églises monolithiques du XIIe siècle classées à l’Unesco.
Addis-Abeba
La capitale est trépidante et moderne, avec de nouveaux musées et des clubs d'éthio-jazz.
Harar
Cette ville musulmane se distingue par son centre historique classé par l’Unesco.
Une culture extraordinaire
La nourriture, la musique et l'artisanat constituent un héritage unique en Éthiopie.
Que visiter en Éthiopie ?
Bon à savoir pour visiter l'Éthiopie
Horaires
Les musées et sites d'archéologie ou églises ouvrent en général aux même horaires qu'en France. Pensez à appeler le prêtre sur son téléphone (les guides locaux ont les numéros de chacun) ou à le faire aller chercher par des enfants un peu en avance pour visiter les églises perchées dans les montagnes.
A réserver
Pensez à programmer avec un guide vos visites de sites religieux bien en avance pendant de grandes festivités : Fasika, Timkat ou Noël, principalement à Lalibela, surtout si vous recherchez un guide francophone parce qu’ils sont rares et très demandés.
Budget / Bons plans
Visiter les églises n'est pas donné (400 birrs l'entrée, mais après il faut payer le prêtre, quelquefois le scout, quelquefois des personnes qui gardent la voiture sur le parking, etc). Les tribus de la vallée de l'Omo ont aussi un coût assez élevé si on est deux personnes, moins si on est avec un grand groupe, et le guide local, en plus de l'entrée individuelle, coûte assez cher, et il est obligatoire même si vous avez votre propre guide dans la voiture. L'excursion dans le désert du Danakil coûte assez cher aussi mais hors saison, vous pouvez négocier les prix plus facilement.
Les attrape-touristes
Attention à Lalibela aux enfants qui vous proposent des entrées moins chères pour les églises (le pass est passé de 50 à 100 US$ par personne pour trois jours). Certes, vous allez peut-être entrer par un autre accès, mais les contrôles à l'intérieur sont nombreux et vous allez vous faire prendre à coup sûr ! Il n'est pas très éthique par ailleurs de ne pas payer l'entrée officielle qui sert aussi à financer la conservation des églises.
Dans le cas d’un service, il est indispensable de s’accorder sur le rôle de chacun et s’entendre préalablement sur le prix, car il n’est pas rare que des personnes vous suivent sans que rien ne leur ait été demandé, se montrent totalement inutiles et réclament ensuite quelque chose.
C'est très local
Pour les pourboires des chauffeurs et guides, il est toujours difficile de donner un ordre de prix et c’est à chacun de juger en fonction de la qualité du service rendu et du prix négocié au départ. La règle est d’essayer de trouver la juste proportion en toute occasion. Le plus souvent, les Éthiopiens feront mine d’être déçus de ce qui leur est proposé, ce qui est de bonne guerre, mais le pourboire doit rester ce qu’il est, un geste spontané et non un dû systématique. Rien n’empêche cependant de se montrer généreux avec un guide, un chauffeur ou autre, qui s’est montré particulièrement aimable et disponible.