Guide du Suriname : Le Suriname en 25 mots-clés

Afaka

Il s'agit d'un système d'écriture d'origine africaine utilisé dans la culture noir-marron. La légende surinamaise raconte qu'un N'djuka, nommé Afaka Atoemoesi, l'aurait inventé après un songe lors du passage de la comète Halley en 1910. Ce syllabaire composé de 56 symboles était utilisé par la communauté n'djuka, du Tapanahony, pour communiquer entre eux. Aujourd'hui, cette écriture n'est plus utilisée mais elle revit grâce à certains artistes qui les intègrent à leurs peintures ou sculptures (John Lie-A-Fo, Marcel Pinas, Roddney Marnix Johannes Tjon Poen Gie...)

Amérindiens

Ce sont les plus anciens habitants du Suriname et ils représentent aujourd'hui 2 % de la population, soit environ 12 000 individus. Ces peuples indigènes sont les seuls présents depuis l'époque précolombienne. Au moins 9 ethnies différentes sont présentes sur le territoire : principalement les Arawak et les Carib, puis viennent les Akurio, les Tiriyó (Trio), les Wayana, les Tunayana, les Katwena, les Mawayana et les Sikiana. La majorité de ces groupes subsistent comme leurs ancêtres, de la pêche, de la chasse et de la cueillette.

Architecture

La capitale du Suriname possède une architecture exceptionnelle, issue de la fusion des techniques de construction hollandaises avec les matériaux locaux, et son centre historique, tout en maisons blanches en bois, a été classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2002. L'architecture religieuse est tout aussi étonnante et diversifiée, on trouve ainsi dans le centre de la ville la Jama Masjid (grande mosquée) côte à côte avec l'unique synagogue de la ville, la cathédrale-basilique Sint Petrus en Paulus, la plus grande église en bois du vieux continent, et l'Arya Dewaker, le plus grand temple hindou du pays.

Art et Artisanat

Qu'ils soient créoles, amérindiens, indonésiens ou saramaca, le Suriname propose une grande variété de produits artisanaux grâce à sa diversité culturelle. Il en est de même pour ses artistes d'origines ethniques très variées. A Paramaribo, vous aurez l'occasion de découvrir la richesse de ces arts et cultures grâce aux expositions qui ont lieu régulièrement. La ville de Moengo est aussi en passe de devenir une vitrine de l'art au Suriname, avec ses sculptures à ciel ouvert provenant d'artistes du monde entier. Peintures, sculptures, poteries, céramiques, vanneries et tissus s'offrent aux yeux à tous les coins de rues et permettent de ramener des souvenirs authentiques de cette richesse culturelle à des tarifs plus intéressants qu'en Guyane.

Bauxite

Roche latéritique blanche, rouge ou grise, contenant de l'alumine, indispensable à la production de nos canettes d'aluminium. Cette roche est très présente au Suriname, notamment dans la montagne de Backhuis proche d'Apoera, et à Paranam, où est implantée la multinationale américaine Suralco (une filiale de la société Alcoa) dans le petit village de Moengo. Pendant la Seconde Guerre mondiale, c'est Alcoa qui a permis de fournir des matériaux pour construire les avions des forces alliées. L'activité d'extraction n'est pourtant pas sans risques pour l'environnement surinamais : lors d'un éventuel survol de la forêt amazonienne, vous aurez l'occasion d'apercevoir les percées occasionnées par cette activité, ainsi que par l'orpaillage sauvage. Sans oublier de mentionner l'un des plus grands lacs artificiels au monde : le réservoir de Brokopondo créé par l'édification de l'imposant barrage hydroélectrique d'Afobaka.

Casinos

Las Vegas n'a qu'à bien se tenir, Paramaribo possède un grand nombre de casinos ! Les Surinamais mais aussi nombreux touristes hollandais et guyanais en sont très friands, d'autant que la plupart des hôtels en possèdent. Autre raison de leur succès : dans tous les établissements, la nourriture et l'alcool sont offerts aux clients ! Roulette, poker, black jack, machines à sous, loteries... toutes sortes de jeux sont proposés avec parfois des animations et spectacles. De quoi passer une bonne soirée. Faites vos jeux !

Dauphin Sotalie

On peut apercevoir cette créature sympathique à l'embouchure du fleuve Suriname proche de Paramaribo. Longtemps méconnue, ce dauphin a fait l'objet d'études qui ont permis de distinguer deux espèces : le Tucuxi (Sotalia fluviatilis), dauphin rose que l'on retrouve dans les eaux saumâtres du bassin de l'Amazone, et le Dauphin de Guyane (Sotalia guianensis), qui fréquente plutôt les côtes Caraïbes et Atlantiques du Nicaragua au Brésil. La WWF a organisé un inventaire en 2015 réalisé sur les 4 grands fleuves du Suriname et le long des côtes : 10 groupes de dauphins de Guyane ont été observés, composés de 1 à 8 individus. L'observation de ces animaux rares est une activité fortement recommandée lors de votre visite à Paramaribo : des sorties en bateau sont organisées entre le fleuve Suriname et Commewijne et les chances d'en apercevoir s'élèvent à presque 99 % !

District

Le territoire surinamais a subi de nombreuses subdivisions. En 1985, il est divisé pour la dernière fois en 10 districts, chacun possédant ses particularités : Paramaribo, le plus dense et lui-même divisé en 12 quartiers ; Wanica, le plus petit ; Sipaliwini, le plus vaste (il représente presque 80 % du territoire) ; Brokopondo, avec sa magnifique réserve de Brownsberg, son lac artificiel et son énorme barrage qui s'étend sur plus de 1 560 km2 de forêt ; Coronie et Saramacca, districts côtiers à l'ouest du pays ; Nickerie, aux frontières du Guyana ; Commewijne et Marowijne, qui accueillent les tortues marines à l'est du pays, et enfin Para, le district le plus riche, où se trouvent les réserves de bauxite, de diamants et d'or...

Inselberg

Ce terme, signifiant " montagne-île " en allemand, désigne une sorte de roche isolée qui émerge de la forêt. Le Suriname en possède plusieurs, plus ou moins accessibles et à hauteurs variables. Ces montagnes miniatures auraient été créées par l'érosion, il y a fort longtemps. Sur certaines roches, le sillon creusé par l'eau est encore visible. L'inselberg le plus remarquable est le majestueux et mystique mont Kasikasima, dans le district de Sipaliwini, qui nécessite plusieurs jours d'expédition. Attention aux chutes lors de l'ascension car de petites algues poussent sur la roche et la rendent ainsi glissante, surtout en saison des pluies. De nombreuses excursions sont proposées pour visiter les différents inselbergs : ils offrent une vue incomparable sur la forêt et permettent également l'observation des oiseaux. Une expérience à vivre absolument lors de la découverte du Suriname.

Keti Koti

Au Suriname, c'est la journée célébrée en mémoire de l'abolition de l'esclavage, décrétée par les Pays-Bas le 1er juillet 1863. Suite aux attaques à répétition des esclaves africains en fuite et face à la pression des abolitionnistes et de l'opinion internationale, l'esclavage cesse enfin aux Pays-Bas, 30 ans après l'Angleterre et 15 ans après la France. Les esclaves furent libérés en 1873 après une décade de transition, où ils continuèrent de travailler dans les plantations pour un salaire minimum, Depuis, chaque 1er juillet est férié au Suriname et des fleurs sont déposées devant le monument Kwakoe, une statue de bronze représentant un esclave aux chaînes brisées qui a résisté et tenté de s'évader plusieurs fois. Les jardins de Palmentuin deviennent alors un lieu de fête où danses, musiques et tenues traditionnelles se succèdent tout au long de la nuit.

Multi-culturalité

La première chose que vous observerez au Suriname, c'est la diversité de sa population : il suffit de se balader dans Paramaribo un jour de marché pour s'en apercevoir. Cette mosaïque ethnique est liée à l'immigration forcée d'esclaves d'Afrique mais aussi à celle plus volontaire de travailleurs chinois, indiens, indonésiens, libanais et européens suite à l'abolition de l'esclavage, afin de travailler dans les plantations. Les communautés les plus importantes sont constituées par les Hindoustanis et les Créoles (Afro-surinamais). On retrouve aussi les Javanais (Indonésiens), les Noirs-Marrons, les Amérindiens, les Chinois, quelques Européens et Brésiliens. Cette mixité ethnique procure une richesse incontestable au Suriname, où toutes les religions du monde peuvent s'exercer en paix. Puisque le Suriname s'est construit grâce à ces habitants d'origines différentes, un jour national dans l'année est dédié à chaque peuple.

Noirs-marrons

Le nom provient du bétail échappé (" marron "). Appelés aussi Bushinengués, ils sont les descendants d'esclaves d'Afrique de l'Ouest évadés des plantations, ayant " marronné ". Réfugiés dans l'intérieur des terres, le long des fleuves, ils ont alors formé différentes communautés dont six ethnies toujours existantes au Suriname : les Matawai, Aluku (ou Boni), Kwinti, Saramaca, N'djuka (ou Auca) et Paramaca. Deux communautés se distinguent car elle se sont affrontées pendant longtemps : les Aluku (dont font aussi partie les Boni) et les N'djuka.

Ornithologie

Le Suriname est un lieu prisé des ornithologues du monde entier ! En effet, la diversité des oiseaux y est impressionnante, on pourra y voir, entre autres : toucan, aigle noir et blanc, hocco (craciné), agami trompette, ibis, ara, coracine rouge, chouette à lunettes, colibri, caracara à gorge rouge... sans oublier le fameux et rare coq de roche. Il suffit de tendre l'oreille ou de lever la tête pour apprécier cette richesse, que l'on soit en forêt ou à proximité des villes. Bigi Pan, dans le district de Nickerie, est la réserve la plus prisée pour l'observation d'oiseaux. Le Cultuurtuin (jardin botanique), situé à 2 km du centre-ville de Paramaribo, attire également de nombreuses espèces, idem pour le parc naturel de Peperpot dans le district du Commewijne.

Pangi

Véritable habit traditionnel noir-marron, le pangi est un tissu madras coloré sur lequel la couturière a cousu des motifs. Certains motifs et couleurs permettent de savoir de quel village il est issu. Les femmes le superposent parfois avec un hangisa, une étoffe permettant de porter leur progéniture. Les hommes portent fièrement le kamisa, en nouant cette fois l'étoffe à l'épaule : il s'agit du tapa koto ou bandjakoosu. Ces tissus sont très populaires sur le fleuve et chaque modèle est unique, confectionné pour chaque grande occasion. Lors des fêtes traditionnelles, les couleurs vives voire fluo des pangi illuminent les villages et témoignent d'une richesse culturelle extraordinaire.

Picolette

Ne vous étonnez pas de voir ces petits oiseaux en cage baladés à vélo ou suspendus à des arbres : ils sont connus pour leur chant et peuvent rapporter à leur propriétaire une belle somme lors des concours organisés sur la place de l'Indépendance à Paramaribo. Le concours a des règles très précises : les cages sont mises l'une à côté de l'autre afin que les mâles s'affrontent. Pendant un temps chronométré, l'oiseau va chanter : l'idéal étant des chants courts et nombreux, de manière consécutive. Malheureusement, suite à de nombreux prélèvements dans leur milieu naturel, les picolettes sont en voie de disparition au Suriname et en Guyane française.

Piranha

La seule évocation de son nom fait frémir ! Ce terme désigne plusieurs espèces de poissons présents dans les rivières amazoniennes. Ces prédateurs aux dents aiguisées se regroupent pour s'attaquer à des proies d'envergure. Cependant ils n'attaquent qu'en présence de sang dans l'eau, qu'ils peuvent détecter à plusieurs kilomètres. S'il est possible de se baigner dans les rivières au Suriname, mieux vaut s'abstenir en cas de plaies ou de blessures ouvertes... pour votre sécurité !

Réserves naturelles

Ce pays luxuriant est aussi la destination idéale pour les amoureux de la nature, en quête d'étendues vertes et sauvages. Il possède 1 parc et 11 réserves naturelles, qu'il est possible de découvrir sur plusieurs jours. Depuis 1966, la STINASU, Fondation pour la conservation de la Nature au Suriname, s'occupe de la gestion et de la promotion de ces réserves naturelles, en incitant le tourisme durable. Sur la zone côtière, les réserves de Galibi et de Wia se distinguent car elles accueillent chaque année plusieurs espèces de tortues marines, pendant la saison des pontes. A l'intérieur des terres, la Réserve naturelle du Suriname Central est la plus vaste : 16 000 km2 de plaines tropicales primaires, de chutes et d'inselbergs à découvrir ! Quant au parc naturel du Brownsberg, facilement accessible depuis la capitale, c'est l'endroit idéal pour observer la faune, en particulier les singes.

Rhum

Le Suriname en possède de plusieurs sortes, tous produits par la " Suriname Alcoholic Berverages N.V ", fondée en 1966. La plantation de sucre de canne de Mariënburg, datant de 1745, a joué un grand rôle dans la production de rhum blanc traditionnel surinamais. Attention, le rhum Mariënburg peut atteindre une teneur en alcool de 90 % ! C'est d'ailleurs la dernière plantation de sucre de canne en activité jusqu'à la fin des années 1980. Aujourd'hui, le sucre de canne n'est plus produit au Suriname : il provient du Guyana et la mélasse de Trinidad et Tobago. On retrouve aussi parmi les meilleurs rhums du monde, le fameux Borgoe (rhum vieux) et Black Cat (rhum blanc), produits à partir de mélasses de sucre de canne. Ces marques ont désormais une notoriété internationale et ont été récompensées de prix prestigieux comme le " Monde Sélection Médaille d'Or ". Pour en savoir plus, rendez-vous au musée du Rhum à Paramaribo, où vous pourrez visiter le musée et l'usine, pour découvrir le procédé de fabrication du début à la fin, sans oublier la traditionnelle dégustation. A consommer avec modération !

Roti

Un plat succulent très populaire au Suriname, d'origine indienne : un pain indien (roti) servi avec une garniture (poulet, boeuf, canard ou oeuf) dans une sauce au curry (masala), avec des pommes de terre et des haricots verts. La version végétarienne est aussi très bonne. A déguster sans modération dans toutes les régions du Suriname : c'est le plat local par excellence. La cuisine indonésienne ou javanaise est tout aussi populaire : nassi, bami et loempias se dégustent à peu près partout et sont très bon marché.

Shopping

Les " malls " ou centres commerciaux sont nombreux dans la capitale : l'occasion d'acheter tissus, chaussures et vêtements de marques internationales mais aussi de l'artisanat surinamais à des prix intéressants. Certains d'entres eux sont excentrés : mieux vaut s'y rendre en taxi ou en bus (Hermitage Mall, Ma Retraite Mall). Quelques rues de Paramaribo se prêtent aussi au shopping comme Dominestraat et alentour, Saramaccastraat (la rue des bazars), Steenbakkeriijstraat... Attention : les magasins ferment leurs portes en général à 16h en semaine, sauf le vendredi, jusqu'à 19h. Le samedi uniquement le matin jusqu'à 13h.

Sjoelbak

Au Suriname, l'influence hollandaise est non seulement présente dans la langue mais aussi dans de nombreuses pratiques. Le billard hollandais en fait partie : on en trouve dans certains bars (celui de la réserve de Brownsberg par exemple) et son utilisation nécessite la maîtrise de quelques règles. Le joueur doit faire glisser ses pions dans un grand compartiment en bois qui ensuite se décompose en 4 couloirs, correspondant à différents points. Le but est de marquer le maximum de points, en répartissant un nombre égal de pions dans chaque couloir.

Sulas

Une des caractéristiques les plus importantes du paysage surinamais sont ses sulas ou sauts. Ils se forment là où la rivière s'élargit et lorsqu'il y a des dénivelés. Les formations rocheuses à l'origine de ces dénivelés ne sont pas facilement érodées, ce qui crée un passage de l'eau plus inégal. En général, la hauteur de ces rapides ou sauts ne dépasse pas les 10 mètres, c'est pourquoi ce ne sont pas des cascades. Les Amérindiens et les Noirs-Marrons sont ceux qui maîtrisent le mieux le passage de ces sauts au bateau à moteur. L'île de Palawa, sur la rivière Tapanahony, est l'une des premières formations de rapides.

Tortue luth

La tortue luth (Dermochelys coriacea) est la plus grande espèce de tortues marines : environ 500 kg pour 1,80 m. Les plages de Matapica ainsi que celles de la réserve de Galibi accueillent des milliers de femelles chaque année, entre avril et août. La ponte est un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte : celles-ci parcourent des milliers de kilomètres pour rejoindre les côtes afin d'y déposer leurs précieux oeufs, qui écloront deux mois plus tard. L'espèce est intégralement protégée, et il en est de même pour les autres espèces qui viennent pondre au Suriname : tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea), verte (Chelonia mydas) ou imbriquée (Eretmochelys imbricata).

Vélo

Tradition hollandaise oblige, le vélo néerlandais est aussi beaucoup pratiqué au Suriname. Vous le reconnaitrez à son guidon haut et rond, bien plus confortable que nos vélos classiques. Attention : pour freiner, il faut pédaler dans l'autre sens ! Vous pourrez vous en procurer à des prix défiant toute concurrence chez quelques revendeurs, mais vous pourrez aussi en louer, notamment lorsque vous visiterez les plantations. De nombreuses agences de location existent, et proposent toutes sortes de sorties à deux roues.

Winti

Le Winti est une tradition culturelle et religieuse afro-surinamaise. Originaire d'Afrique, elle est le résultat de la fusion des différentes traditions apportées par les esclaves venus de tribus et d'ethnies différentes et s'est développé sous l'empire hollandais. De nos jours cette tradition est présente chez les Noirs-Marrons, les Créoles ainsi que les Amérindiens, ces derniers voyant des similitudes avec leurs propres croyances. Des danses et rituels traditionnels sont encore pratiqués aujourd'hui par certaines familles afin d'apaiser un conflit au sein du village, de soigner un malade ou bien d'exorciser les mauvais esprits.

Faire – Ne pas faire

Tester les mets proposés par les différentes cultures du Suriname (plats javanais, chinois, amérindiens, indiens...)

Visiter le centre historique de Paramaribo ainsi que ses environs : se promener dans les plantations à vélo et terminer la journée par l'observation des dauphins roses, au coucher du soleil.

Flâner dans les marchés de la capitale, sentir les épices et observer les différentes cultures.

Partir à la découverte des ethnies amérindiennes et noirs-marrons le long des différents fleuves, dans l'intérieur des terres.

Se familiariser avec l'art surinamais dans les galeries et expositions de Paramaribo et de Moengo.

Observer la faune locale dans les réserves : oiseaux, singes, insectes, félins, si vous avez de la chance !

Grimper tout en haut d'un inselberg et contempler l'immensité et la richesse de la forêt amazonienne, vous retrouverez alors les sensations d'aventure et de liberté.

Bien respecter les consignes de sécurité de votre guide en forêt et bien s'équiper pour les excursions dans la jungle (chaussure des marche, lotion anti-moustiques, crème solaire, etc.).

Ne pas se balader seul(e) tard la nuit dans certains quartiers de Paramaribo : mieux vaut se déplacer à plusieurs. La zone du Palmentuin Park est à éviter, particulièrement dès la tombée de la nuit.

Evitez également, si vous êtes une femme, de vous retrouver seule (et isolée) dans certaines rues de jour comme de nuit.

Eviter de porter des signes de richesse ostentatoires : gros bijoux en or, ou chaînes que l'on peut facilement arracher.

Attention aux taxis de rue : mieux vaut faire appel à une entreprise.

Attention à la conduite à gauche : marchez sur le côté gauche de la route et regardez de gauche à droite lorsque vous traversez.

Ne pas prendre en photo les Amérindiens sans leur autorisation préalable.

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