Restaurant proposant une cuisine du marché et une carte de produits des marchés des Carmes et Victor Hugo.
Entre Esquirol et la Daurade, la rue Peyrolières accueille depuis l'été 2016 une nouvelle table au nom des plus simples : le Restaurant ! Julien et Christophe vous proposent une cuisine du marché dans un esprit bistrot très agréable. L'accueil et le service sont souriants, aux petits soins, soucieux de vous faire passer un bon moment. La carte est préparée à partir de produits provenant des marchés des Carmes et Victor Hugo : ravioles de veau à la citronnelle, seiche persillée ou encore foie gras mi-cuit pour l'entrée, puis entrecôte, tartare de bœuf, magret farci au rocamadour, ris de veau ou steak de thon... Une ardoise du jour complète l'offre pour le déjeuner, avec, par exemple, une brochette de poulet façon yakitori ou un velouté de saison, puis un onglet de bœuf avec petites pommes de terre sauté ou un pavé de lieu avec son risotto. Les assiettes sont généreusement garnies ! Si toutefois il vous restait de la place pour un dessert : moelleux au chocolat, crème brûlée, pain brioché perdu, pomme caramélisée... Une adresse qui reprend trois valeurs sûres : les produits frais, la créativité et le sourire toulousain !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE RESTAURANT
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Les pommes dauphine maison sont incontournables.
Produits de qualité, service sympathique.
Je conseille vivement ce restaurant
Il transforme un concept convivial, partager des plats servis à l'assiette, en une déconvenue particulièrement désagréable.
Ainsi, le 29 décembre 2023, avons-nous vu arriver nos entrées servies pour deux personnes : pour 17 € l'équivalent de deux coquilles Saint Jacques, présentées en lamelles dans une coquille, sans leur corail, et approximativement assaisonnées, et pour 18 € une tranche de foie gras d'une épaisseur inférieure à 1 cm / diamètre 5 à 6 cm).
Commandez plutôt les patatas, grasses à souhait, car ce n'est pas non plus le demi-céleri, qui "s'invite à la table" (sic), pour deux bien sûr, qui comblera votre faim, avec son unique noisette émiettée et sa cuiller de sauce pralinée pur industriel.
Inspirés certainement de restaurants eux dignes de ce nom, ni la cuisine (d'assemblage), ni les nom, quantité et présentation des plats, ni le service ne font ici illusion.
Une adresse à fuir.