Guide de SETOUCHI : Setouchi en 20 mots-clefs
Take en japonais, son utilisation remonte à la Préhistoire et ce dans de nombreux domaines, comme la construction de maisons, la fabrication de paniers, la confection de pinceaux de calligraphe, celle des armes de guerres comme les arcs ou les lances, etc... Les jeunes pousses sont consommées et constituent un mets de choix. Le bambou est aussi représenté sur de nombreux supports, il représente à la fois la force et la souplesse. Il évoque également la plénitude du vide intérieur dans la philosophie zen.
C'est l'art de la restitution en miniature d'un arbre adulte. Bien que le bonsaï soit d'origine chinoise, les Japonais, depuis la fin de l'époque de Muromachi, sont passés maîtres dans l'art d'obtenir des arbres nains. Le bonsaï devint très vite un passe-temps partagé par toutes les classes de la population depuis le daimyō (grand seigneur) jusqu'au commerçant. La technique est savante. Il s'agit de ligaturer racines et branches afin d'obtenir de véritables oeuvres d'art naturelles. Codifié, le bonsaï se distingue par sa forme. Un tronc droit est appelé chokan, un tronc couché, fukinagashi.
La carpe, plus précisément la carpe koï est un symbole de vie, de courage et de persévérance car ce poisson remonte les cours de rivières sans jamais se retourner tout comme un garçon doit le faire tout au long de sa vie. C'est pourquoi elle est également l'emblème des petits garçons et on la retrouve en bannière flottante lors de la fête des enfants, bien souvent au-dessus des cours d'eau. Elle représente aussi la virilité et la fertilité et elle est très souvent choisie comme motif de tatouage.
Ce que les Occidentaux appellent communément " estampes ", n'est qu'une partie de la xylographie qui se développe surtout à l'époque Edo et qui se nomme ukiyo-e, ou images du monde flottant.
Matelas mince que l'on déroule sur le tatami le soir pour dormir. Le lendemain, on le met à sécher au soleil, et ensuite on le range dans un placard que ferment des portes à glissière. On distingue le shiki-buton (futon posé au sol) du kake-buton (la couette).
Le mot geisha s'écrit à l'aide de deux kanjis qui signifient art et personne. Le terme évoque une femme qui pratique les arts : danse, chant, conversation. Ce ne sont pas des prostituées, mais des femmes de compagnie recherchées pour leur culture.
Ce terme désigne les danses et musiques du culte shintō. Shintō, ou kami-nagara no michi, signifie " la voie du lieu de passage kami ". Le kagura est généralement reconnu comme étant la forme la plus ancienne des rituels dansés d'origine japonaise.
Appelé aussi kakémono, il désigne un rouleau vertical en papier supporté par une baguette en bois, qui se déplie et qui laisse apparaitre une oeuvre picturale ou calligraphique, quelquefois les deux, sur un morceau de soie collé et qui se suspend à un mur afin d'être admiré. Il serait originaire de Chine (dynastie Tang), apparu entre le VIIIe et le IXe siècle au Japon. On en trouve partout, dans les restaurants, les maisons de samouraïs, et même dans la rue à usage publicitaire.
Alors que le karaoké se pratique principalement dans des bars en France, il existe au Japon des karaoke-kan, c'est-à-dire de grands immeubles remplis de petits studios avec un divan, une télévision et tout ce qu'il faut pour chanter avec des amis.
Les Français ont tendance à appeler le kimono ce que les Japonais appellent le yukata : kimono simple ou kimono d'intérieur. Un ensemble yukata peut s'acheter à partir de 2 000 ¥, mais les vrais kimonos au sens japonais peuvent atteindre 20 millions de yens !
Il est considéré comme le père de la culture japonaise, il est né en 774, dans le village de Byôbuga-ura, dans la préfecture de Kagawa, sur l'île de Shikoku. Fondateur de la secte bouddhiste Shingon, on lui attribue notamment l'invention du syllabaire japonais.
Il faut distinguer les mangas magazines qui se lisent dans le train et les mangas livres écrits par des auteurs de mangas célèbres (mangaka), comme Osamu Tezuka (Bouddha, Phénix) ou l'extraordinaire Akira de Katsuhiro Ōtomo, etc., repris en DVD. Certains mangas sont éducatifs (l'histoire ou l'économie du Japon) ou politiques (Sensō-ron : thèse sur la guerre, de Yoshinori Kobayashi). L'un des tout premiers, Atom (Astro boy le petit robot en France) créé en 1952 par Osamu Tezuka dans un Japon défait, raconte l'histoire d'un petit robot défenseur de la paix qui va redonner l'espoir à toute une nation.
Si vous êtes un homme ou une femme d'affaires, il vous faut des cartes de visite. Beaucoup ! C'est toujours au visiteur de commencer. Pendant l'inclinaison o-jigi, ce dernier tend sa carte de manière à ce que son interlocuteur lise immédiatement son nom et titre.
S'il y a un musée à ne pas manquer à Setouchi, c'est bien celui du mémorial de la paix (ou " musée de la Bombe A "). Il rappelle non seulement les circonstances dans lesquelles l'armée américaine utilisa pour la première fois la bombe atomique afin d'anéantir la zone militaire ô combien stratégique que constituait Hiroshima à l'époque mais, en outre, il resitue les événements du 6 mai 1945 dans une problématique plus large, celle de l'opportunité de l'utilisation de l'arme nucléaire et ses conséquences sur le plan humain, écologique et éthique.
Ce qui est appelé Nippontō correspond aux diverses formes de lames telles que le ken (dague), le naginata (la lame en fer de la hallebarde) et le yari (la pointe en fer de la lance), en plus des tachi, katana, wakizashi et tantō plus courants.
Salutation japonaise, o-jigi est souvent traduit par une " inclinaison du bassin ". C'est un signe de considération, d'humilité et de déférence. La véritable communication à la japonaise commence et finit par o-jigi.
Station thermale où les sources d'eaux chaudes attirent de nombreux visiteurs. Dans certains onsen, des bains collectifs sont des kon-yoku (bains mixtes) ou sont en plein air (rotemburo).
C'est l'art du pliage. Tous les enfants japonais apprennent à plier les morceaux de papier pour confectionner des animaux ou des objets. L'origami est un jeu inventé au Japon. On en trouve la trace très loin dans l'histoire, mais le premier manuel d'origami a été écrit à l'époque d'Edo. Au départ, ce n'était pas un jeu, mais une coutume rituelle des maisons de samouraïs pour décorer le tokonoma.
Les Japonais s'amusent à dire qu'ils naissent shintō, vivent en confucéens, se marient chrétiens et meurent bouddhistes. Cette attitude montre en tout cas que les sentiments de ferveur religieuse, de foi ou de " communion avec un Moi profond " ne font pas partie du vécu religieux habituel du peuple.
La plus belle piste cyclable du Japon, classée comme l'une des plus admirable du monde qui s'étend sur 70 kilomètres, entre la ville d'Onomichi sur Honshu et Imabari de l'autre côté de la mer de Seto, sur l'île de Shikoku.
La vie de tous les jours est faite d'une multitude de petits rites et codes souvent tacites, pas toujours évidents à saisir pour les voyageurs. Même si les Japonais n'en connaissent qu'une partie, ils cherchent toujours à respecter le code comportemental qui correspond à la situation !
Entrer dans une maison japonaise
Niveau de base. Saluer (inclinaison) dès que l'hôte se manifeste. Retirer ses chaussures avant de passer du sol du vestibule au plancher de la maison. La remise du cadeau vient plus tard.
Niveau moyen. Saluer en disant o-jama shimasu, " je vous dérange ". Venir avec des chaussures sans lacets (déchaussage facile), et ne pas poser le pied sur le sol du vestibule. Quand il sort de la chaussure, le pied doit atterrir sur le plancher de la maison... pas facile !
Niveau initié. Une fois sur le plancher de la maison, s'agenouiller pour poser ses chaussures la pointe en direction de la sortie. Des chaussons sont souvent offerts, mais il faut les enlever si on entre dans une pièce à tatamis. Une fois dans la maison, s'incliner légèrement un très court instant devant l'autel des ancêtres, ou devant le tokonoma s'il n'y a pas d'autel des ancêtres. Peu de Japonais connaissent cette pratique de base, mais la première pensée que l'on doit avoir est pour les ancêtres ou pour l'esprit du lieu (tokonoma). Bien que cela fasse plaisir, amener des fleurs à la maîtresse de maison n'est pas une coutume japonaise (éviter les chrysanthèmes utilisés normalement pour les funérailles).
Le sanctuaire shintō (Jinja)
Il n'y a pas de règles ou d'interdictions bien précises dans la religion shintō en général. Une fois passé le torii, se trouve un petit bassin d'eau à hauteur de hanche, avec une sorte de louche en bois qui sert à se mettre de l'eau sur le bout des mains (les doigts essentiellement). Ensuite, il faut choisir un pavillon. La coutume invite les visiteurs à taper des mains deux fois pour appeler Kami-sama, puis à faire une courte prière. Une fois celle-ci achevée, il faut encore taper deux fois des mains. Souvent, il y a une grosse pierre ou une boîte avec des fentes pour jeter de l'argent après la prière. Il est également possible de le faire avant la prière, ou pas du tout, il n'y a pas de règle précise. Coutume amusante : lors de funérailles shintō, il faut frapper dans les mains trois fois, mais en silence. S'arrêter juste avant que les deux mains ne se touchent.
La coutume du bain
Les bains publics, ou les bains des auberges ryokan par exemple ne sont pas individuels. Même chez soi, on prend souvent le bain en famille. Les Japonais entrent dans la salle de bains, ou le bain public, nus avec juste une petite serviette pour cacher discrètement ce qui doit l'être. Cette serviette sert de gant de toilette, puis de serviette à la sortie. On doit se laver et se rincer consciencieusement avant d'entrer dans la baignoire, pour éviter de la salir ou de faire flotter du savon. En cas d'invitation dans une maison japonaise, il est bon d'insister pour que l'hôte et toute sa famille utilisent la salle de bains d'abord, mais après moult insistances de leur part, il est fort probable que le visiteur se retrouve obligé de profiter de la salle de bains en premier. Certains rajoutent un peu d'eau chaude pour le suivant avant de sortir.
Montrer du doigt
On évite en général de désigner une personne en la montrant du doigt. Dans le cas inverse, cette pratique est ressentie comme un signe agressif. Pour se désigner soi-même, les Japonais ne pointent pas le doigt sur la poitrine, mais sur... le bout du nez.
Le repas
Niveau de base. Les Japonais ne disent pas " bon appétit ", mais " il m'est donné d'alimenter ma vie " qui se dit itadakimasu. A la fin du repas (ou quand on sort d'un restaurant), on dira toujours gochisō-sama, " c'était très bon ". Eviter de laisser les baguettes plantées dans le bol de riz. Ceci rappelle les offrandes faites aux ancêtres : un bol de riz est laissé sur l'autel avec les baguettes plantées, pour que les défunts puissent manger depuis le ciel. On ne passe pas non plus la nourriture de baguette à baguette, rappel d'une pratique funéraire consistant à se passer les ossements incinérés du défunt pour les mettre dans l'urne. Durant le repas, oishii veut dire " c'est bon ". Dans le langage masculin un peu moins poli, on peut dire aussi umai.
Niveau moyen. Faire du bruit en aspirant les rāmen ou soba (nouilles chinoises), sans éclabousser son voisin si possible. Essayer de manger tout le riz ! Les Japonais ont l'habitude de dire à leurs enfants que ça ne fait pas plaisir au paysan (hyakusho-ga okoru !), ou que celui qui en laisse va perdre la vue (me-ga tsubureru !).
Niveau avancé. Manger proprement pour que ce qui reste dans l'assiette soit agréable à regarder pour les autres. On pose les baguettes parallèlement à soi (éviter de les poser pointées vers la personne en face de soi). Pour remercier la personne qui a payé au restaurant, on attend à la sortie pour remercier en disant go chisō-sama deshita, avec un o-jigi (inclinaison). Dans un restaurant, on paie en général à la sortie, en amenant soi-même la note posée sur la table.
Inclinaisons o-jigi
Salutation japonaise, o-jigi est souvent traduit par " salut de la tête ". Ne faudrait-il pas mieux dire " inclinaison du bassin " ? C'est le buste tout entier qui s'incline par un petit basculement du bassin. O-jigi est un signe de considération, d'humilité et de déférence. La véritable communication à la japonaise commence et finit par o-jigi. On est déférent pour l'autre et ce sentiment de considération enveloppe l'amitié. Pour un Occidental, il est difficile de se plier à cette coutume au début, mais une fois que l'habitude est prise, la communication passe mieux. Le o-jigi doit se faire simultanément, ou plutôt en phase avec l'autre personne. Bien qu'on ait tendance à expliquer en Occident que l'ampleur du salut japonais est à moduler en fonction de la personne qu'on a en face de soi, cela n'est pas très important. On module plutôt en fonction du degré de remerciement ou d'excuse que l'on veut exprimer. Si une personne importante ou respectée s'incline profondément devant soi, on s'efforcera de prendre tout de suite ou de garder l'attitude o-jigi, sinon cela peut paraître hautain. Certains Japonais, conscients que le visiteur est un non-Japonais, tendront la main, même s'ils préfèrent o-jigi. A noter qu'on ne fait pas la bise au Japon.
S'asseoir dans une pièce à tatamis
Un coussin est en général offert, et il faut s'asseoir en seiza, c'est-à-dire les genoux pliés sous le bassin, assis sur les talons. Très vite, l'hôte propose au visiteur de se mettre à l'aise (dōzo ashi wo kuzushite kudasai ou " défaites vos jambes "), ce qui est une invitation à s'asseoir en tailleur (ce qui n'apporte pas vraiment un mieux au commun des mortels occidentaux). En général, il vaut mieux le faire car le seiza est considéré comme assez rituel.
Boire avec des Japonais
Niveau de base. Prendre son verre et le lever pour être servi (ne pas le laisser sur la table). Il faut éviter de se servir soi-même. A votre santé se dit kanpai ! (comme en Occident, on touche juste le verre de l'autre personne).
Niveau moyen. Une fois servi, prendre vite et délicatement la bouteille des mains de l'autre personne pour la servir à votre tour. Elle lèvera automatiquement son verre.
Niveau avancé. S'il y a deux bouteilles (ou cannettes) de bière par exemple sur la table, ouvrir la seconde cannette dès que vous voyez l'autre personne ouvrir la première, et si possible ouvrir plus vite que lui pour le servir en premier.
Niveau initié. Qui sert-on en premier s'il y a trois personnes ou plus ? Pour répondre à cette question, il faut rappeler que tout rassemblement même amical est centré autour d'un thème. Si le thème est de fêter la promotion de X ou la réussite de Y, on pense généralement au Japon que les amis, collègues ou camarades proches doivent servir d'abord X ou Y. Si quelqu'un a été plus rapide que soi, on sert alors celui qui est hiérarchiquement juste en dessous de X ou Y. C'est ce que font les Japonais au niveau avancé, mais à un niveau au-dessus (initié), c'est X ou Y qui va servir ceux envers qui il est redevable, même si (ou justement parce que) il est un grand chef... L'affaire devient de plus en plus complexe !
Prendre congé (sortir de la maison)
Même entre amis, après un dîner par exemple, on range la table et les femmes aident la maîtresse de maison à faire la vaisselle (ou font semblant de vouloir le faire). C'est assez machiste, mais c'est encore comme cela que ça se passe dans beaucoup de foyers japonais.
Us et coutumes dans les lieux publics et dans la rue
Dans le train, l'usager ne doit pas parler avec le téléphone portable. Dans certains wagons, il est incité à le mettre sur le mode vibration, dans d'autres il doit couper l'alimentation. Des places sont prévues pour les personnes âgées ou handicapées. Se restaurer en marchant ou dans les transports publics ne se fait pas en principe. Lorsque des gens attendent sur un quai, il faut éviter de passer devant eux. Dernière remarque sur les us et coutumes : au Japon, toutes les erreurs sont pardonnées, et le visiteur est souvent excusé avec un gentil sourire !
Toilettes
(toire ou o-tearai : prononcer " toïlé " et " o-téalaille ")
Dans la plupart des lieux publics et chez les particuliers, des chaussons sont laissés à l'entrée des toilettes. Il convient de les enfiler en entrant aux toilettes et de ne pas oublier de les retirer en sortant. Il y a des toilettes publiques dans pratiquement toutes les gares et les kombini au Japon, gratuites et extrêmement propres. Le papier toilette n'est pas toujours fourni, mais des distributeurs en dispensent parfois. Sinon, pensez à conserver les paquets de mouchoirs qui sont distribués à la sortie des métros ou dans les quartiers animés et passants, et qui servent de publicité pour les tere-kura (clubs de rencontres téléphoniques, notamment avec des collégiennes). Les toilettes à la japonaise ressemblent un peu à celles à la turque. Mais pratiquement partout, il existe des toilettes à l'occidentale, qui sont parfois équipées d'un véritable tableau de bord, grâce auquel un jet d'eau tiède peut vous laver le postérieur. Vous trouverez souvent, à côté des toilettes des femmes, une machine rectangulaire sur laquelle est collée une photo de cascade. Si vous appuyez sur le bouton, vous entendrez alors un bruit de cascade ou de chasse d'eau... qui évite pudiquement que l'on ne vous entende. Dans les métros et les galeries commerciales, les toilettes publiques pour femmes s'apparentent à un salon de beauté. C'est un vrai spectacle que de voir les Japonaises pressées se remaquiller avec art, se vernir les ongles, se recourber les cils, tout en téléphonant...
Blanchisserie
La plupart des hôtels possèdent un service de blanchisserie. Dans un ryokan ou un minshuku, une machine à laver à la disposition des clients fonctionne avec des pièces de monnaie. Sinon, demander au personnel du ryokan où se trouve le 5 à sec local : ko-in randorii. 300 ¥ pour une machine, 50 ¥ pour la lessive et séchoir pour 100 ¥ à 200 ¥. Les pressings sont généralement assez chers, mais très rapides. Compter pour une veste, un pull, un pantalon, de 12 € à 15 €.
Carte de visite (meishi)
Si vous êtes un homme d'affaires, il vous faut des cartes de visite. C'est toujours au visiteur de commencer. Pendant l'inclinaison o-jigi, ce dernier tend sa carte de manière à ce que son interlocuteur lise immédiatement son nom et titre. Le must est d'avoir une carte professionnelle rédigée en japonais. Ne jamais écrire quelques chose sur une carte de visite remise, c'est très mal vu.
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